POUR LES GÉNÉRATIONS FUTURES
On fut surpris de voir autant de ces lavis-couleurs du peintre J.-P. Pépin dans les bureaux du King's
Hall. Décidément, cet artiste que nous avons déjà proclamé comme la “plus forte personnalité dans
le domaine de la peinture canadienne contemporaine” est compris de plusieurs amateurs. Nos félicitations
à tous ces acquéreurs perspicaces...
[Note de recherche:
L'auteur Roger D. Parent était un journaliste connu sous
les pseudonymes de "l'Académicien", et "le Boulevardier", décédé le
18 août 1948; il a écrit le livre Les Vedettes en «jaquettes », voir infra,
Montréal, Le Verseau, [1946], 179 p.]
POUR LES GÉNÉRATIONS FUTURES
Roger Daveluy, le directeur Radio-Canadien [sic], possède maintenant une
oeuvre du peintre Pépin. Comme ses camarades du King's Hall, celui-là
exhibe fièrement sur un mur de son bureau cette pièce intéressante.
POUR LES GÉNÉRATIONS FUTURES
[...]
Parmi les collectionneurs de tableaux au King's Hall, il convient
de mentionner le sympathique Ernest Hébert qui possède aujourd'hui
deux oeuvres du peintre J.-P. Pépin, l'artiste traditionaliste québécois.
Notes de recherches:
- on peut voir la toile "Le Quêeteux des Routes" au Pépin 5, à lareau-law.ca/Peintres--Pepin.html
- pour Adjutor Rivard, 1868-1945, voir Chez nous, et disponible à La Bibliothèque électronique du Québec
Collection Littérature québécoise Volume 96 : version 1.0, "Les quêteux" aux pages 83-98 et
disponible à beq.ebooksgratuits.com/pdf/Rivard-cheznous.pdf;
...Lucien Thériault, le supercollectionneur de tableaux, vient de faire l'acquisition
d'une oeuvre de Pépin, peintre traditionnaliste du Québec. Pour sûr, voilà une
addition importante à la collection...
[Note de recherche: nous reproduisons ci-dessous une photo de
Lucien Thériault:
source: Sébastien Daviau, Jean-Luc Brazeau et Édith Prégent,
Et si les bâtiments se racontaient. Circuit historique et architectural
de Vaudreuil-Dorion, Vaudreuil-Dorion, Ville de Vaudreuil-Dorion /
Musée régional de Vaudreuil-Soulanges, 2017, circuitvd.ca/en/circuit/people/lucien-theriault,
site consulté le 16 février 2021.]
Note de recherche de François Lareau:
Le Pépin 35, ci-dessus, provient de monsieur Lucien Thériault.
[...]
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[Extrait seulement]
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(p. 35)
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Note: Sur la toile, Paysage d'hiver, voir le Pépin
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[Notes de recherche du 16 janvier 2021 par François Lareau:
- sur cette exposition, voir les recherches ci-dessous sous "BOULEVARDIER";
- Le 1486 ouest rue Sherbrooke est maintent occupé par le restaurant "La Palette Gourmande".
On voit ci-dessous la carte géographique de sa situation et une photo du restaurant. Le commerce
semble en vente, les directeurs sont M. Alain Pignard et Mme Liliana de Kerorguen.
:
source: pagesjaunes.ca/merchant/directions/100734894
Pour agrandir ou diminuer, il suffit d'utiliser ensemble la touche Ctrl et la roulette de la souris
source: michel-lemieux.com/fiche-projet.php?no_projet=57]
ANONYME, "Pêle-Mêle", Le petit journal, dimanche, 5 décembre 1954, à la p. 67, disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/4250200 (site consulté le 18 avril 2021);
Si le peintre Jean-Paul Pépin n'expose plus, c'est qu'il est
trop occupé à un certain travail avec l'Unesco.
[Titre omis; extrait seulement]
[Note de recherche de François lareau: Vue du faubourg après les démolitions:
source de l'image: ocpm.qc.ca/sites/ocpm.qc.ca/files/pdf/P109/3.4.2.1_volet_1_synthese_historique
_ppu_des_faubourgs.pdf site visité le 25 janvier 2020]
[Note de recherche de François Lareau : Chanson sur le Faubourg à m'lasse:
Chus une fille du Faubourg à m'lasse
D'la misère j'n'ai eu en masse
J'ai été placée, déplacée
Tassée, cassée, bardassée
Dix-huit ans pis deux enfants
Toute seule en appartement
Sans métier, sans parents,
Sans amour, sans argent (...)
Extrait de la chanson « J'ai besoin qu'on ait besoin de moi », interprétée
par Marie-Jeanne Therrien sur une musique de Steve Faulkner dans le film
Au chic Resto Pop [youtube.com/watch?v=NpDc4Ch6s3I à 49:50 et 49:38],
et chanson thème du forum; source: bv.cdeacf.ca/EA_PDF/2005_01_0563.pdf],
sites consultés le 31 mars 2021]
Les vieux faubourgs de l'Est: patrimoine en sursis au coeur du développement immobilier
Source de l'image et du texte ci-dessus: montrealexplorations.org/th_event/faubourgs/, site
consulté le 1er novembre 2021
[Sur le domaine Saint-Sulpice]
[page 5 pour lire la suite allez ici]
[page 10]
.................
[page 13]
[p. 43]
Note: Research by François Lareau on 23 March 2021
The E.P. Taylor Research Library & Archives, Art Gallery of Ontario:
in its "info D", call number "Jean-Paul Pepin File", 1894-1983, "file of miscellaneous
uncatalogued material", on "shelf "has a file
on Pépin. See catalog at http://library.ago.net/
Library.Archives@ago.ca
Peintures: 28 à fr.artprice.com/artiste/45834/jean-paul-pepin/lots/passes/1/peinture
- The Lachine Canal
- Maison
- La maison du patriote, rue St-Paul (voir Pépin 75)
- Le bois
- Maison Canadienne, île verte/Le petit bois, Ste Dorothée, Québec
- Rivière du Nord/West Wind
- La ferme Corbeil, 1925
- Maison au toit rouge
- Paysage
- Paysage
- Tempête de neige à St-Sauveur des Monts, 1944
- Moulin à farine, Trois-Rivières, Qué, 1949
- Lever du matin, Montée St-Michel, Montréal, 1949
- Maison Gévain
- Première neige automne, montée St. Michel, 1956
- Paysage
- Maison en ville
- Maison du Québec/Jardin Botanique/Hiver à Beaumont/Montée St.Michel
- Bethléem
- Maison Cantin, Que., 1962
- Automne, Montée Saint-Michel
- Maison Champagne, 1968
- Laurentides, Saint-Faustin, 1960
- Maison sur la Côte de Beaupré, Québec, 1920
- Château de Vaudreuil, puis Collège de Montréal, en 1723..., 1948
- Moulin à vent de Trois-Rivières, Québec, 1929
- Vieilles maisons du Québec, St-Laurent, Ile Orléans, 1947
- Le moulin de Pointe aux Trembles de Montréal, 1948
Dessin-Aquarelle: 22 à fr.artprice.com/artiste/45834/jean-paul-pepin/lots/passes/7/dessin-aquarelle
- Paysage
- Croix
- Église Ste-Dorothée
- Moulin du Québec, Varennes
- Old Canadian House, Kamouraska, 1918
- 1641, Vieux Montreal, le théatre Royal, rue St Paul coin Bonsecours, 1961
- Maison de St-Jean de l'Ile d'Orléans, Québec, Canada (St Jean), 1972
- Pommiers en fleurs, Ferme Robin, Montée St-Michel, près Montréal, 1950
- Maison Baie St-Paul, Québec, Canada, 1950
- Moulin à farine de Chez-Nous dans le Québec, Canada, 1950
- 348, rue Saint-Paul O. Maison du Patriote, Vieux-Montréal
- Quand la barque du pêcheur revient à Gaspé..., 1954
- St. Sauveur des Monts, Laurentides, Qué, Canada
- Église Ste-Dorothée et village
- Maison à Neuville, Qué», 1949
- Sans titre
- Paysage d'hiver
- Vieux Montréal, Saint-Antoine et Lagauchetière, 1965
- Marché Bonsecours, église Notre-Dame de Bonsecours, 1939
- Maison de l'Ile d'Orléans/Ancien manoir de Lanaudière
Estampe-Multiple: 2 à fr.artprice.com/artiste/45834/jean-paul-pepin/lots/passes/2/estampe-multiple
- Faubourg Jeanne-Mance, 1975
- Faubourg Viger/Faubourg St.Jacques/Faubourg St.Laurent
Miniature: 1 à fr.artprice.com/artiste/45834/jean-paul-pepin/lots/passes/9/miniature
- Quebec Homestead Studies
[Ces quatre sites ont été visités le 6 février 2021]
- M.R. Pépin, "Le basketball Dollard réunit des champions. Le tournoi de samedi à l'École normale Jacques-Cartier
très réussi", La Presse, lundi 20 juin 1932, à la p. 8, disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2958989 (site consulté le 18 octobre 2021).
- "Rendez-vous en foule au parc Jarry: Pour assister demain au grand concours de basketball
'Dollard'. Service d'ordre", La Presse, vendredi, 3 juin 1932, à la p. 17, disponible à collections.banq.qc.ca/
ark:/52327/2958975 (site consulté le 18 octobre 2021).
- Photo publicitaire parue dans le journal montréalais La Presse, samedi, 18 juin 1932, à la p. 36,
disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2958988 (site consulté le 18 octobre 2021).
- "Le premier gagnant de ce tournoi: Georges Paquet le décroche au concours de basket-ball Dollard samedi.
Un succès", La Presse, lundi 6 juin 1932 à la p. 15, disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2958977 (site
consulté le 18 octobre 2021); l'article explique donne des détails sur l'aventure; l'inventeur du jeu est monsieur Alphonse Hardy.
Jean-Paul Pépin décernant le 3e prix au gagnant Jean-Paul
Gagné (Cliché la "Presse").
- "De magnifiques prix attachés à ce concours. Le basketball 'Dollard' à
l'honneur, samedi, au parc Jarry. L'échevin Papineau", La Presse, mercredi,
1er juin 1932 à la p. 12, disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2958973
(site consulté le 18n octobre 2021).
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[...]
Lise Bissonnette, l'auteure (photo: Nathalie St-Pierre),
voir actualites.uqam.ca/2018/lise-bissonnette-quitte-presidence-ca-uqam
(site consulté le 25 mars 2018)
En cet avril de pluie neigeuse, on l’aurait vu en vêtements très légers, à vrai dire court vêtu, trottant au tour de
sa très belle maison ancienne de la montée Champagne à Sainte-Dorothée, admonestant les jeunes frileux de
passage. «Il faut forcer le soleil», disait-il en se moquant des petites natures contemporaines. Juste comme le
soleil allait se laisser tardivement forcer, le 22 avril, Jean-Paul Pépin, artiste-peintre, est parti.
Il avait 85 ans, et il avait quitté sa maison, il y a environ cinq ans, doucement grugé par l’âge et la maladie dont
il n’aurait pas aimé qu’on parle. Car il était essentiellement jeune, ce benjamin des « peintres de la montée Saint-
Michel », huit collègues et amis qui au cours des années trente, à la façon du «groupe des Sept» au Canada anglais,
traduisaient un paysage québécois qu’ils aimaient, et que la grisaille du boulevard Métropolitain a aujourd’hui
effacé de presque toutes les mémoires. Des huit, seul Narcisse Poirier, récemment centenaire, survit désormais.
« Cette montée Saint-Michel était le paradis des artistes-peintres de Montréal », écrivait-il avec nostalgie derrière
un croquis tourmenté d’un sentier de la campagne occupée aujourd'hui par le collège Grasset. Chassé du paradis
par la civilisation industrielle, il n’allait pas rester inactif. Il fut peintre du Québec, de tout Montréal, du Vieux-
Montréal surtout dont il avait une connaissance encyclopédique de l’architecture. « Les anciens Montréalais
étaient tous des génies » écrivait-il de sa plume enthousiaste, qui l’a mené aussi à entretenir une fantastique
correspondance, jalousement conservée, avec des centaines d’artistes, d’hommes politiques, d’amis.
Son art était celui du chroniqueur vivace, poétique, moderne qui fut ignoré des modernistes. On l’a comparé
à Marc-Aurèle Fortin, à Clarence Gagnon, mais il se disait lui-même unique. « J’ai inventé la peinture-catalogne»,
lançait-il simplement à propos d’une de ses techniques étonnantes, qui striait la pâte fraîche en diagonale.
L’audace se tempérait de sa passion d’équilibre, celui de ses sujets, comme ces maisons anciennes dont il
invitait sans cesse à célébrer la splendeur des proportions, « la beauté simple, mais grandiose ». La sienne
le rendait particulièrement heureux.
Il peignait depuis sa tendre enfance, avait étudié avec les grands du début du siècle, au Québec, en Ontario, et
dans toutes les disciplines, huile, encre, aquarelle, gravure, sculpture. Mais il était surtout fier de son doctorat en
arts, qui lui avait été décerné par une université belge, après le passage au Québec d’un visiteur académique fort
impressionné de sa maîtrise. Il tenait de son oeuvre un compte aussi scrupuleux que de sa correspondance. Le
Centre de documentation de la Galerie nationale du Canada, où il en avait lui-même déposé la liste exhaustive,
recensé ainsi tout près de 9,000 oeuvres.
Toutes guerres d’écoles éteintes autour de cette période de notre histoire, la prolifique chronique en images
qu’a laissée Jean-Paul Pépin sera un jour reconnu pour toute sa beauté. « Maître de la ligne, du rythme, de la
forme », écrivait un choniqueur du DEVOIR en avril 1946. Un printemps lointain, qu’il avait sans doute forcé aussi.
[Note de recherche de François Lareau, 25 janvier 2021: Je vais essayé de rejoindre Mme Bissonnette en écrivant à Jean Siag,
auteur de "Lise Bissonnette et Pierre A. Raymond reverront la structure de gouvernance" dans La Presse du 8 octobre 2020 ]
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- "Rumeurs et Potins", Photo-Journal, jeudi le 26 juillet 1945 à la p. 26; disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/3542009
(site consulté le 22 février 2021);
À l'automne, une exposition des oeuvres du peintre Paul Pépin se tiendra dans une galerie
métropolitaine.
-"Rumeurs et Potins", Photo-Journal, jeudi le 12 septembre 1946 à la p. 32; disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/3542068
(site vérifié le 15 avril 2021);
L'artiste-peintre Paul Pépin exposera de nouveau ses oeuvres chez un libraire de la rue
St-Denis dans un avenir rapproché. Disons que sa dernière exposition à cet endroit
obtint un éclatant succès.
-"Rumeurs et Potins", Photo-Journal, jeudi le 19 décembre 1946 à la p. 32; disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/3542082
(site consulté le 22 février 2021);
Paul Pépin le peintre traditionaliste du Québec, tiendra une exposition de ses oeuvres
à Québec, au printemps. On sait sans doute que celui-ci obtint un excellent succès
récemment lors d'une exposition dans une galerie Montréalaise.
-"Rumeurs et Potins", Photo-Journal, jeudi le 20 février 1947 à la p. 32; disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/3542091
(site consulté le 15 avril 2021);
L'artiste-peintre J.-P. Pépin est parti pour Québec, ces jours derniers, où il tiendra
au Palais Montcalm une exposition de ses dernières oeuvres.
-"Rumeurs et Potins", Photo-Journal, jeudi le 27 mars 1947 à la p. 34; disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/3542096
(vérifié le 15 avril 2021);
Les amateurs se sont rendus nombreux à l'exposition du peintre J.-P. Pépin dans
une galerie de la rue Ste-Catherine est. Dans ses oeuvres, le traditionaliste de la
peinture canadienne montre une vigueur remarquable qui le classe parmi les plus
intéressants contemporains.
-"Rumeurs et Potins", Photo-Journal, jeudi le 10 avril 1947 à la p. 34; disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/3542098
(site consulté le 15 avril 2021);
Il est question que l'artiste-peintre J.-P. Pépin tienne une exposition de ses oeuvres
à Ottawa, vers la fin de mai ou au début de juin. On sait qu'une récente exhibition
de ses oeuvres dans une galerie montréalaise a connu un franc succès.
-"Rumeurs et Potins", Photo-Journal, jeudi le 1er mai 1947 à la p. 34; disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/3542101
(site consulté le 21 février 2021);
L'artiste-peintre J.-P. Pépin tiendra une exposition de ses oeuvres dans une galerie newyorkaise,
au cours de la saison prochaine. Depuis quelques mois, les tableaux de ce traditionaliste du
Québec ont acquis une nouvelle faveur auprès des collectionneurs canadiens et étrangers.
-"Rumeurs et Potins", Photo-Journal, jeudi le 26 juin 1947 à la p. 34; disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/3542109
(site consulté le 21 février 2021);
Dix tableaux à l'huile reproduisant des scènes du Vieux Montréal, par le peintre
traditionaliste J.-P. Pépin, seront exposés lors du Congrès touristique de Montréal,
à l'édifice Confédération, à partir du 1er juillet.
-"Rumeurs et Potins", Photo-Journal, jeudi le 3 juillet 1947 à la p. 34, disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/3542110
(site consulté le 15 avril 2021);
C'est à l'automne que le peintre J.-P. Pépin tiendra la prochaine exhibition de
ses oeuvres, dans une galerie de l'ouest de la métropole. Ajoutons
qu'actuellement une dizaine de tableaux du vieux Montréal exécutés par cet
artiste sont exhibés au congrès du tourisme, à l'édifice Confédération.
-"Rumeurs et Potins", Photo-Journal, jeudi le 11 septembre 1947 à la p. 34, disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/3542120
(site consulté le 15 avril 2021);
L'artiste-peintre Paul Pépin exposera ses plus récentes oeuvres à Montréal et à
Québec au cours de l'hiver. Actuellement, trois de ses tableaux sont exhibés
dans un important centre touristiques de la métropole.
-"Rumeurs et Potins", Photo-Journal, jeudi le 18 septembre 1947 à la p. 34, disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/3542121
(page consultée le 15 avril 2021);
C'est au cours d'octobre que le peintre Paul Pépin tiendra la première de
ses expositions annuelles, dans une galerie montréalaise. Il exhibera ensuite
ses plus récentes oeuvres à Québec et aux Trois-Rivières.
-"Rumeurs et Potins", Photo-Journal, jeudi le 9 octobre 1947 à la p. 34; disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/3542124
(site consulté le 10 janvier 2021);
Les messieurs de Saint-Sulpice ont gracieusement permis l'érection d'une plaque commémorative
près de la croix du collège André-Grasset, boulevard Crémazie, pour commémorer les réunions
des peintres de la montée Saint-Michel. Cette plaque sera installée au cours d'octobre ....
[...]
J.-P. Pépin, peintre traditionaliste, exposera une quarantaine de toiles inédites chez Morency Frères, du
15 octobre au 1er novembre. Parmi les oeuvres exhibées, on remarquera particulièrement le tableau intitulé
"une Vieille Canadienne”, pièce digne d’un grand musée.
- "Rumeurs et Potins", Photo-Journal, jeudi le 16 octobre 1947 à la p. 34; disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/3542125
(site consulté le 1er avril 2021); pour l'exposition qui s'ensuivit, voir le Photo-Journal, 5 février 1948 et cherchez "Plamondon" à
collections.banq.qc.ca/ark:/52327/3542141.
[Pour agrandir, il suffit d'utiliser ensemble la touche Ctrl et la roulette de la souris]
[...]
Les peintres de la Montée Saint-Michel se réuniront prochainement,
afin de remercier les Messieurs de Saint-Sulpice d'avoir autorisé
l'emplacement d'une plaque historique près de la croix du collège
Grasset, boulevard Crémazie. Ajoutons que cet endroit était
autrefois le lieu de réunion des artistes de ce groupe.
- "Rumeurs et Potins", Photo-Journal, jeudi le 23 octobre 1947 à la p. 34; disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/3542126
(site consulté le 15 janvier 2021);
Une exposition des oeuvres récentes du peintre Paul Pépin aura lieu, du 29 octobre au 8 novembre,
à la galerie Robert-Olivier, rue Sherbrooke ouest. Environ 35 tableaux à l'huile du traditionaliste
figureront dans cette exhibition.
- "Rumeurs et Potins", Photo-Journal, jeudi le 30 octobre 1947 à la p. 34; disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/3542127
(site consulté le 15 janvier 2021);
Une exposition de peinture à ne pas manquer: celle du Montréalais
J.-P. Pépin, à la galerie Robert-Olivier, [1486 ]rue Sherbrooke ouest, qui,
commencée lundi, se poursuivra jusqu'au 8 novembre. Une quarantaine
de toiles sont exhibées.
-"Rumeurs et Potins", Photo-Journal, jeudi le 13 novembre 1947 à la p. 34; disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/3542129
(site consulté le 15 janvier 2021);
À la galerie Robert-Olivier, l'exposition J.-P. Pépin a obtenu un remarquable
succès. L'artiste canadien a reçu l'offre d'exhiber plusieurs de ses toiles
récentes dans des salles de Québec et d'Ottawa.
-"Rumeurs et Potins", Photo-Journal, jeudi le 27 novembre 1947 à la p. 34; disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/3542131
(site consulté le 15 avril 2021);
Aussitôt finie sa récente exposition dans une galerie de l'ouest de la ville,
le peintre J.-P. Pépin s'est remis à l'oeuvre pour présenter de nouvelles toiles au
printemps. De plus en plus, les tableaux à l'huile et les lavis de cet artiste
attirent l'attention des amateurs d'outre-frontières.
- "Rumeurs et Potins", Photo-Journal, 4 décembre 1947, à la p. 34; disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/3542132 (site consulté le 22 février 2021);
Après avoir obtenu un éclatant succès lors de sa récente exposition à la galerie
Robert-Oliver, le peintre traditionaliste Jean-Paul Pépin s'est remis au travail
pour préparer une exhibition printanière dans une galerie de l'est de la métropole.
- "Rumeurs et Potins", Photo-Journal, 18 décembre 1947, à la p. 34, disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/3542134
(site consulté le 15 avril 2021);
Le peintre Paul Pépin prépare sa prochaine exposition, qui aura
lieu en février, dans une galerie ded l'est de la ville. Il compte
présenter une quarantaine de toiles, à cette date.
- "Rumeurs et Potins", Photo-Journal, 22 janvier 1948 à la p. 34; disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/3542139
(site consulté le 15 avril 2021);
La prochaine exposition du peintre traditionaliste J.-P. Pépin se tiendra en fin-février,
à l'école provinciale des Arts et Métiers, rue St-Denis, près de Ste-Catherine.
- "Rumeurs et Potins", Photo-Journal, 5 février 1948 à la p. 34; disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/3542141
(site consulté le 15 avril 2021);
Une exposition des plus récentes oeuvres du peintre traditionaliste J.-P. Pépin
se tiendra définitivement du 16 au 30 février, à l'école des Arts et Métiers.
L'entrée sera libre de 9 heures du matin à 10 heures du soir, tous les jours, les
samedis et dimanches exceptés.
- "Rumeurs et Potins", Photo-Journal, 18 mars 1948 à la p. 34; disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/3542147
(site consulté le 10 janvier 2021);
Le peintre Pépin, qui a obtenu un éclatant succès lors d’une
récente exposition à l’école centrale des Arts et Métiers, a été
invité à exhiber ses oeuvres aux Trois-Rivières et à Ottawa.....
- "Rumeurs et Potins", Photo-Journal, 3 juin 1948 à la p. 38; disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/3542158
(site consulté le 15 avril 2021);
L'artiste-peintre J.-P. Pépin tiendra, à l'automne, une exposition de ses
oeuvres dans une galerie de New York. Plus de cinquante toiles de cet
artiste local seront exhibées en cette occasion.
- "Rumeurs et Potins", Photo-Journal, 22 juillet 1948 à la p. 38; disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/3542165
(site consulté le 15 avril 2021);
À l'automne, le peintre J.-P. Pépin exposera ses plus récentes oeuvres à Montréal, à
Québec et aux Trois-Rivières. Une fois de plus, une évolution constante de son art
reste l'une des grandes qualités de l'artiste montréalais.
- "Rumeurs et Potins", Photo-Journal, 26 août 1948 à la p. 38; disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/3542170
(site consulté le 21 février 2021);
- "Rumeurs et Potins", Photo-Journal, 30 septembre 1948 à la p. 38; disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/3542176Le peintre J.-P. Pépin tiendra au moins trois expositions de ses plus
récentes oeuvres, avant les Fêtes, à Montréal, Québec et Ottawa. On
sait que cet artiste a été invité pour une exposition particulière dans une
grande galerie de New York, au printemps prochain.
[voir cette bibliographie, "FRICK ART": explorez pour lien possible avec cette exposition si elle a eu
lieu]
(site consulté le 15 avril 2021);
Sous la présidence d'honneur du premier ministre de la province,
l'honorable Maurice Duplessis, se tiendra l'exposition du peintre
J.-P. Pépin, à l'école centrale des Arts et Métiers, du 3 au 15 octobre.
- "Rumeurs et Potins", Photo-Journal, 7 octobre 1948 à la p. 38; disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/3542177
(site consulté le 16 avril 2021);
Des invitations d'honneur ont été envoyés à tous les consuls de la métropole,
pour l'ouverture de l'exposition J.-P. Pépin, à l'école centrale des Arts et Métiers.
Les oeuvres du peintre traditionaliste seront exhibées jusqu'au 15 du présent mois.
- "Rumeurs et Potins", Photo-Journal, 14 octobre 1948 à la p. 38; disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/3542178
(site consulté le 15 avril 2021);
L'exposition Pépin, qui se poursuivra jusque à la fin de la semaine, à l'école centrale
des Arts et Métiers, continue de susciter des controverses dans plusieurs milieux
artistiques et dans la presse. À certains articles peu louangeurs pour le genre du
peintre traditionaliste, Le Boulevardier répond par cette appréciation: Pépin reste
la plus forte personnalité dans la peinture canadienne contemporaine. Qu'on nous
permette de nous expliquer davantage, et nous le ferons avec un extrême plaisir.
- "Rumeurs et Potins", Photo-Journal, 6 janvier 1949 à la p. 38; disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/3542190
(site consulté le 21 février 2021);
Le peintre J.-P. Pépin éprouvera quelques difficultés à présenter une
exposition d'oeuvres récentes au printemps; car, les amateurs s'acharnent
à acquérir ses tableaux, dès le dernier coup de brosse donné. Au temps
des Fêtes, ce traditionaliste de la peinture canadienne a complètement épuisé
les oeuvres réalisées au cours des derniers mois.
- "Rumeurs et Potins", Photo-Journal, 13 janvier 1949 à la p. 38; disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/3542191
(site consulté le 21 février 2021);
À partir du 15 janvier, le peintre J.-P. Pépin tiendra une exposition de ses
récentes oeuvres au club Islemere, de St-Eustache-sur-le-Lac, sous les
auspices d'une association artistique de langue anglaise.
--------- "Rumeurs et Potins", Photo-Journal, 3 mars 1949 à la p. 42; disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/3542198
(site consulté le 25 mars 2021);
Après une courte maladie qui l'a retenu à sa demeure de Ste-Dorothée, l'artiste-
peintre J.-P. Pépin s'est remis à la besogne. Il travaille présentement à préparer
une exposition pour l'automne.
- "Rumeurs et Potins", Photo-Journal, 4 août 1949 à la p. 42; disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/3542220
(site consulté le 15 avril 2021);
À l'École Centrale des Arts et Métiers, rue Saint-Denis, près de Sainte-Catherine, se
poursuit jusqu'en septembre une exposition des oeuvres du peintre J.-P. Pépin. Par
les touristes venus des États-Unis et d'Europe, les oeuvres du traditionaliste québécois
semblent hautement prisées.
- "Rumeurs et Potins", Photo-Journal, 18 août 1949 à la p. 42; disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/3542222
(site consulté le 16 avril 2021);
J.-P. Pépin, le peintre traditionaliste, prépare une exposition d'automne pour la fin d'octobre.
En plus de nombreuses compositions à l'huile, l'artiste exhibera plus d'une trentaine de
lavis-couleurs d'une haute tenue artistique.
- "Rumeurs et Potins", Photo-Journal, 26 août 1949 à la p. 38; disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/3542170
(site consulté le 15 avril 2021);
Le peintre J.-P. Pépin tiendra au moins trois expositions de ses plus récentes oeuvres, avant
les Fêtes, à Montréal, Québec et Ottawa. On sait que cet artiste a été invité pour une exposition
particulière dans une grande galerie de New York, au printemps prochain.
- "Rumeurs et Potins", Photo-Journal, 1er septembre 1949 à la p. 42; disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/3542224
(site consulté le 15 avril 2021);
Le peintre traditionaliste J.-P. Pépin a déjà réalisé une trentaine de tableaux et plusieurs
lavis-couleurs pour une prochaine exposition d'automne. Durant les mois d'été, cet
artiste exhiba plusieurs de ses oeuvres à l'école des Arts et Métiers.
[Note de recherche:
L'auteur Roger D. Parent était un journaliste connu sous les pseudonymes de "l'Académicien", et "le Boulevardier", décédé le
18 août 1948, il a écrit le livre Les Vedettes en «jaquettes », Montréal, Le Verseau, [1946], 179 p.]
Le 10 mai 2021, j'ai reçu un couriel de Mme Marie-France Carrière (mfcarrer@icloud.com) qui se lit en partie ainsi:
"Bonjour monsieur Lareau, Drôle de hasard. Je voulais connaître cet artiste dont le fils Pierre qui est l’ex beau-père
d’une connaissance vient de décéder (voir La Presse de samedi avant-dernier) et je tombe sur votre demande. J’en
parlerai à cette connaissance qui est également ma voisine et peut-être que l’un des enfants ou l’un des petits-enfants
de monsieur Pierre voudront communiquer avec vous. Salutations distinguées".
Le 10 mai 2021, j'ai reçu un deuxième courriel de Mme Marie-France Carrière qui se lit ainsi: "J’ai parlé à ma voisine
qui est aussi une personne avec laquelle j’ai grandi ( Ahuntsic, dans mon coin, est un village). Elle va en parler à ses
fils qui sont les arrières -petits-enfants du peintre. Je vais lui envoyer par courriel vos coordonnées."
[partie pertinente de la p. 201]
Résumé
Catalogue d'une sélection d'oeuvres de diverses époques tirées des collections
d'art européen et québécois du Musée d'art de Joliette. Suivant une approche
historique et stylistique, l'ouvrage regroupe les oeuvres commentées en fonction
d'un découpage par discipline, par époque ou par région géographique. Glossaire,
3 p. Index onomastique. Circa 670 réf. bibl.
[un des artistes est Jean-Paul Pépin]
[...] Aubin, "le père de la montée", Élizée Martel, "l'homme au vieux coq", Jean-Onésime
Legault, Narcisse Poirier, J.-O. Proulx, Joseph Jutras, Jean-Paul Pépin, Roméo Vincelotte,
tout ce groupe de peintres traditionaliste et personnels méritent l'attention. Ils sont, tout au
moins, un bel exemple de courage.
(bout de la page manquant)
Peindre à Montréal, 1915-19.30
Musée du Québec du 24 janvier au 5 mai 1996
Centre d'artistes de l'Université Bishop's Lennoxville du 11 juin au 12 juillet 1996
Itinérante, l'exposition sera notamment présentée à Montréal à la galerie de l'UQAM (du 16 août au 5 octobre 1996) et à
Pointe-au-Pic au Musée de Charlevoix (du 20 octobre 1996 au 15 janvier 1997).
Pour agrandir, il suffit d'utiliser ensemble
la touche Ctrl et la roulette de la souris
[Note de recherche par François Lareau, le 24 janvier 2021:
Monsieur J-G. Desmombynes, critique d'art, fut lui-même critiqué,
voir Sophie Dubois, Quand le Refus global devient "Refus global":
l'histoire d'une réception partielle, Départment des littératures de
langue française, Faculté des arts et des sciences, thèse présentée à la Faculté
des études supérieures et postdoctorales en vue de l'obtention du grade de doctorat
en littérature de langue française, Université de Montréal, 2014 disponible à /papyrus.bib.umontreal.ca/xmlui/
bitstream/handle/1866/11639/Dubois_Sophie_2014_these.pdf?sequence=4&isAllowed=y,
site visité le 24 janvier 2021; publiée aux Presses de l’Université de Montréal, « Nouvelles
études québécoises », 2017.
Gaston Denault m'a téléphoné le 11 avril 2021 après avoir été à mon site sur Pépin:
- il demeure au 1721, boulevard Talbot, Ville de Québec, QC, G2N 0C6, tél.: 418-849-4448, courriel: gaston.denault024@sympathico.ca;
- a resté sur la rue principale à Sainte-Dorothée; a bien connu Jean-Paul et aussi son épouse Irène; il a sorti avec sa fille Françoise; il est allé dans sa maison;
- Jean-Paul partait le matin et allait sur la rue St-Denis vendre ses tableaux;
- Jean-Paul, mesurait 5'2", était très bavard, pas flamboyant, renfermé, disait souvent : "Écoute ben ça";
- Jean-Paul a souvent peint sa maison à Sainte-Dorothée;
- il a donné des cours de peinture à sa belle-soeur;
- M. Denault a 80 ans; il a travaillé à Air Canada. Personne très gentille. Lui ai demandé si je pouvais mettre son nom à mon site.
Note de recherche:
Lors de notre conversation téléphonique du 11 avril 2021, monsieur Denault m'a informé qu'il souffrait d'un cancer,
qu'il allait être opéré et espérait que tout irait bien. Monsieur Denault est décédé le 10 novembre 2021
------
(1) (2)
Pour agrandir, il suffit d'utiliser ensemble la touche Ctrl et la roulette de la souris
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(3) (4)
Pour agrandir, il suffit d'utiliser ensemble la touche Ctrl et la roulette de la souris
(5)
Pour agrandir, il suffit d'utiliser ensemble la touche Ctrl et la roulette de la souris
Richard Foisy dans son livre, Les peintres de la Montée Saint-Michel. Un groupe montréalais (1911-1946),
infra, reproduit également cette photo à sa p. 339, illustration 8.1, qu"il date de 1931 et indique à la p. 596,
note 8.1, que le photographe est inconnu et qu'elle provient de la collection de Monique Pépin-Galbrand.
[L'exposition]
Notes de recherche:
Pour de l'expertise à Radio-Canada sur l'émission "Femme d'aujourd'hui"
Recherche et rédaction : Élodie Gagné
Voir la page web à ici.radio-canada.ca/...., site consulté le 13 octobre 2021.
J'ai écrit à Mme Élodie Gagné vers le 13-14 octobre 2021.
Sur "Femme d'aujourd'hui, aussi ici.radio-canada.ca/recit-numerique/141/emission-femme-
aujourdhui-histoire-aline-desjardins-archives (site consulté le 9 janvier 2021);
J'ai fait une demande:"J'aimerai avoir une copie de l'émission de télévision "Femme d'aujourd'hui", diffusée le
6 mai 1974 à Ici Radio-Canada (télévision de Radio-Canada) à 13h35. Plus précisément l'entretien avec Jean-Paul
Pépin, artiste-peintre et son épouse." Cette demande a été faite par courriel du site web: cbcrc-distribution.atlassian.net/
servicedesk/customer/portal/4/group/26/create/109 le 14 octobre 2021. Ma référence du dossier est "Your reference is SS-7801".
Le 27 octobre 2021, un des petits-enfants de Jean-Paul Pépin m'emvoi par courriel une copie de cette émission.
Jusqu'à ce que Élodie Gagné m'informe que c'est Françoise Faucher qui avait interviewé monsieur et madame Pépin;
je croyais, par erreur mais preuve documentaire à l'appui que c'était France L'Abbé qui avait interviewé les Pépins, voir
selon l'hebdomadaire Ici Radio-Canada, semaine du 4 au 10 mai 1974, volume 8, numéro 19, à la p. 5, disponible à
collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2882900 (consulté le 26 mars 2018);
....dans la collection du collège André-Grasset à Montréal. Monsieur Émile Fillion,
p.s.s., qui enseignait l’histoire de l’art à l’externat classique de Saint-Sulpice, avait
conçu vers 1939 le projet de créer un musée d’art pour des fins éducatives. Parmi
les oeuvres de cette collection, on retrouvait, outre deux tableau de Hébert, des toiles
d’Ozias Leduc (1864-1955), de Marc-Aurèle Fortin, d’Alfred Pellan (1906-1988) et même
de Paul-Émile Borduas.
[source: uer.ca/locations/viewgal.asp?picid=227277, site consulté le 10 octobre 2021]
[Sur Jean-Paul Pépin, on consultera
dans ce livre:]
CHAPITRE 8
339 Jean-Paul Pépin (1897-1983) le traditionaliste
moderne
341 Refus global
343 Compagnons à la Montée Saint-Michel
351 Agent d'artistes
354 Les trois glorieuses
360 La peinture artisanale
369 Lavis couleur
370 "Montréal, la ville aux cent visages"
384 Réception critique
386 L'arrière-saison
[Table des matières à la p. 607]
Texte du Chapitre 8 "Jean-Paul Pépin (1897-1983) le traditionaliste
moderne" ...aux pages 339-391
Notes de renvoi...aux pages 520-525
Expositions ...aux pages 566-570
Bibliographie sur Jean-Paul Pépin aux pages 582-583
Liste des illustrations de Jean-Paul Pépin aux pages 596-597
-----------
Sur ce livre, on pourra lire:
- Pierre Deschamps, "Les reussuscités de la Montée Saint-Michel", en-retrait.com/les-ressuscites-de-la-montee-saint-michel-2/ (site consulté 4 novembre 2024)
-"Les huits peintres impressionnistes de la montée Saint-Michel reussités", journaldesvoisins.com/les-huit-peintres-impressionnistes-de-la-montee-saint-michel-ressuscites (site consulté 4 novembre 2024)
- "Les peintres dee la Montée Saint-Michel. Un groupe montréalais (1911-1946)", Les Presses de l'Université De Montréal, pum.umontreal.ca/catalogue/les_peintres_de_la_montee_saint_michel (site consulté 4 novembre 2024)
[Ci-dessous la photo de Marc-Aurèle Fortin prise
dans le jardin de Pépin]
Source de l'Image: www.google.ca/....]
Wimston McQuade tenanr en main une reproduction d'une toile de Jean-Paul Pépin pendant son interview avec
Richard Foisy à 11:05 et disponible à youtube.com/watch?v=VZXiI2yI7TY (site consulté 21 mars 2024). Voir cette
toile à "Pépin 21" à lareau-law.ca/Peintres--Pepin.html.
Please contact us at photoarchive@frick.org with any questions.
- "Exposition de photographies de M. Marcel Arel", Le Courrier de St-Hyacinthe, vendredi 25 mai 1945, à la p. 8, voir collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2590973 (site visité le 13 avril 2021);
- "Le 'Gala des Arts" à Verdun", Le devoir, samedi 2 juin 1945 à la p. 4, voir collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2779858 (site consulté le 13 avril 2021);
Dans les années 20 à 50, Pépin expose à la librairie Décon [Déom],
à la Galerie Morency, à la Galerie Olivier et à l'École des arts et métiers
de Montréal.
Galerie 2000 -- gallery2000.ca
1001, Place Jean-Paul Riopelle, #135
Montréal, Qc H2Z 1M2
Tel: 514-868-6668
Fax: 514-868-6669
palais@galerie2000.ca
Crédit photographique Laureen Mandelker
Encan Gélineau & Fils, numéro 19, du 4/12/2021 - 4/19/2021,
endos du lot numéro 23, une toile de Onésime André Léger:
encangelineau.hibid.com/catalog/274205/encans-g-lineau-and-fils-no-19/
Pierre Pépin, 1932-2021, voir l'avis de décès
dans La Presse, 1er mai 2021, plus.lapresse.ca/avis-de-deces/9913376f-52c7-4b01-9849-f1f412211055.html
Jean Paul PépinPeintre de la Montée St Michel, né à Montréal le 24 septembre 1897. Dans la famille Pépin
on est tous artistes, sa mère musicienne, et son père libraire, le guideront dès son enfance
vers le dessin. Il fait ses études primaires chez les Soeurs de la Providence et poursuit son
secondaire chez les Jésuites et obtient très jeune un doctorat en Arts de L'Université de
Montréal. Son oncle T.B. Lagacé fut sa première influence, sans oublier ses professeurs de
l'art Association, Franchère, Ernest Aubin, Louis Philippe Hébert, Alfred Laliberté, George
Delfosse, et le grand Clarence Alphonse Gagnon. Il se joint aux peintres de la Montée
St michel, Jean Onésime Legault, Onésime Aimé léger, Ernest Aubin, J. Onésime Proulx,
Élisée Martel, Joseph Jutras, Narcisse Poirier, qui un peu à la manière du Groupe des Sept
dans les années trente, traduisaient le paysage québéçois sur leurs toiles. Après vingt années
de recherche, Pépin développe un style connu sous le nom de CATALOGUE, un mode
d'expression à la diagonale. Ses coins préférées étaient le vieux Montréal et les Laurentides,
et l'oeuvre que nous vous proposons s'intitule St Agathe, l'Été. Ce tableau semble avoir été
réalisé avant qu'il ait trouvé sa propre technique, soit la fin des années 30 début 40.
[galeriemolinas.com/artist.php?id=301 site consulté le 23 décembre 2020]
[p. 69]
À noter, Jean-Paul Pépin, probablement, en arrière de la porte et le numéro 1564 de la
rue Saint-Denis.
À noter, des toiles de Jean-Paul dans la vitrine de droite
Carte géographique avec le 1564, rue Saint-DEnis, Montréal, H2X 3K2 au point jaune, source: yellowpages.ca/merchant/directions/5314256, site
consulté le 7 novembre 2021; cet endroit est maintenant occupé par l'Office National du Film du Canada.
AVIS AUX LECTEURS
Je suis à la recherche des ayants-droit ou héritiers pour le droit à
l'image des oeuvres reproduites ci-dessus. Monsieur Jean-Paul
Pépin est décédé le 22 avril 1983 et ses droits subsistent pour 50 ans
après sa mort. J'ai essayé de retrouver de la parenté, voir "généalogie"
ci-dessous. Toute personne qui pourrait me donner des
renseignements sur la famille serait bien gentille de communiquer avec
moi au tél. 613-521-3689 ou à flareau@rogers.com
NOTICE TO READERS
I am looking for the heirs for the image rights to the works of art
reproduced hereunder. Mister Jean-Paul Pépin died on 22 April 1983 and
these rights subsist for 50 years after his death. I have tried to find some
relatives, see "géanologie" hereunder. If someone from the
family could help me, it would be very nice, please tel. at 613-521-3689 or
email at flareau@rogers.com
Naissance de Jean-Paul Pépin: né Achille Jean-Paul Pépin, 24 septembre 1897 à Montréal, rue Berri, Paroisse Saint-Louis de France (aujourd'hui partie de l'arondissement Le Plateau Mont-Royal);
Père de Jean-Paul Pépin: Joseph Achille Eugène Pépin, 1869-1929, libraire, Librairie Pépin Ltée, 930 rue Sainte-Catherine est? sur la création de la compagnie Librairie Pépin Inc., voir La Gazette officielle du Québec, 25 septembre 1920, à la page 2082 disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2356895, site visité le 2 février 2021; Eugène Pépin décède en 1929, 60 ans:
Source: La presse, vendredi,
5 avril 1929, à la p. 11, disponible à
collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2972998, site consulté le 12 février 2021.
Source: Le devoir, vendredi, 5 avril 1929 à la p. 3,
disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2787618,
site consulté le 12 février 2021.
Pour agrandir, il suffit d'utiliser ensemble la touche Ctrl et la roulette de la souris
vers le haut;et en bas ensuite pour retourner à la dimension originale
Note de recherche voir les cartes et images pour la rue Saint-Christophe et pour
le 1710, rue Saint-Christophe, Ville-Marie, Montréal H2L 3W8; voir aussi ce site
pour le 1710.
Le 1710 rue Saint-Christophe source de l'image: google.ca/maps/...., site consulté le 15 novembre 2021.
Le 1710 rue Saint-Christophe source de l'image: google.ca/maps/place/1710...., site consulté le 15 novembre 2021.
Rue Sainte-Catherine en 1930, source: histograd.com/graph.php?image=5, site condulté le 15 novembre 2021.
Publicité pour la "Librarie Pépin Limitée"; Jean-Paul est le gérant er Raymond le vice-président,
Le devoir, vendredi, 21 juin 1929 à la p. 8, disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2787930
(site consulté le 17 octobre 2021).
La Librairie Pépin Limitée a été constitué en corporation provinciale le 11 septembre 1920,
a soumis des rapports de 1920 à 1931 et a été dissoute en 1978, voit la Gazette Officielle du Québec,
11 février 1978 à la p. 1795, disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2360448
Sur la Librarie Pépin Limitée, voir "BASKETBALL DOLLARD, une aventure de mise en marché", ci-dessous
ce site.
Sur la Librairie Pépin, voir la vente au commerce de stock en faillite de la Librarie Pépin Limitée dans La Presse,
samedi 16 septembre 1933 à la page 75, disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2896776 (site consulté le 18 octobre 2021).
Voir La Grande Dépression au Canada--La crise de 1929 (le krach boursier débute à New York le 24 octobre 1929).
Note de recherche du 28 octobre 2021 :
Après la fermeture de la Librairie Pépin Ltée au 930, rue Sainte-Catherine est, H2L 2E7, cet endroit fut occupé approximativement de 1934 à 1978 par le commerce "Au Petit Versailles Limitée la maison du cadeau, près de la Pharmacie Montréal et de la rue Amherst (change de nom en 2021 à "Atateken"); aujourd'hui en 2021 par le commerce Wega boutique érotique pour homme;
Mère, grand-mère maternelle et grand-père maternel de Jean-Paul Pépin -- Les Castonguay:
Jean-Paul Pépin, Portrait de ma mère, Émilie Rose Blanche Castonguay,
image fixe tirée de l'émission télévisée de ICI Radio-Canada, "Femme
d'aujourd'hui", 6 mai 1974.
Note de recherche:
Émilie Rose Blanche Castonguay, 1874-1956, B.A., musicienne elle
se marie avec Eugène Pépin en 1894 à Montréal; on la retrouve sous le
nom de "E. Pépin (Blanche)" comme dans l'avis de décès de sa mère
(grand-mère de Jean-Paul), Mme F.-X. Castonguay", née Mathilda Labbé.
Selon le courriel de Jacques-Paul Pépin-Lalonde du 25 juin 2024, "mon arrière grand-mère
Pépin demeurait sur Cherrier avec les deux soeurs de Jean-Paul, Marcelle et Isabelle. Une
des deux travaillait dans le building SunLife comme secrétaire du Consulat de Belgique.
Sa mère avait un piano et jouait du Chopin avec moi assis sur son banc de piano."
Avis de décès de la grand-mère
maternelle de Jean-Paul Pépin, Mathilda
Labbé (de son nom de fille) marié à
F.-X Castonguay, Le devoir, 22 mars 1932, p. 5, collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2791425
Avis de décès du grand-père maternel de Jean-
Paul Pépin, F.-X. Castonguay marié à Mathilda
Labbé, La Patrie, 30 avril 1906, disponible à
collections.banq.qc.ca/ark:/52327/4315671, site consulté le 22 octobre 2021.
Avis de décès du grand-père maternel de Jean-
Paul Pépin, F.-X. Castonguay marié à Mathilda
Labbé, La Patrie, mardi, 1er mai 1906, p. 6, disponible
à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/4315673, site consulté le 22 octobre 2021.
Source des données: en partie Sylvain Auclair, geni.com/people/Achille-P%C3%A9pin/6000000024388742518,
en partie le c.v. de Jean-Paul Pépin donnée à la Galerie nationale du Canada
Frères et soeurs: Raymond (21 juin 1896-22 août 1988), François (1907-1933, étudiant en médecine, voir La Presse, 25 janvier 1933 à la p. 3, collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2792351; voir également pour François, l'énorme avis de décès dans Le devoir, 27 janvier 1933 à la p. 2, et disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2792359), Marcelle (1901-, décédée après le 22 août 1988), Isabelle (1903-, décédée après le 22 août 1988), voir pour tous les frères et soeurs ensemble: geni.com/people/Louis-P%C3%A9pin/6000000024388581587, consulté le 6 mai 2021;
Avis de décès, du frère de Jean-Paul, Raymond,
La Presse, 23 août 1988, page C10, disponible à
collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2260283, (site consulté le 6 mai 2021)
Épouse de Jean-Paul Pépin: Irène Hamelin, mariage le 25 septembre 1923, Montréal, voir mesaieux.com/Genealogy/Jean-Paul_Pepin/1, consulté le 23 mars 2018;
Irène Hamelin, l'épouse de Jean-Paul Pépin, image fixe tirée de l'émission
télévisée de ICI Radio-Canada, "Femme d'aujourd'hui", 6 mai 1974.
Décès de son épouse Irène Hamelin, à Ste-Dorothée, le 28 octobre 1984, à l'âge de 82 ans et 11 mois, voir sa nécrologie, La Presse, mardi 30 octobre 1984, à la p. E-6; disponible à numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2288006?docsearchtext=%22Jean-Paul%20P%C3%A9pin%22%20peintrehttp://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2288006?docsearchtext=%22Jean-Paul%20P%C3%A9pin%22%20peintre, consulté le 20 mars 2018;
inhumation Section R Lot 01221, Cimetière Notre-Dame des Neiges, voir https://gw.geneanet.org/thurber?lang=fr&pz=sylvie&nz=thurber&p=irene&n=hamelin&oc=5 (site visité le 16 mars 2021); son père était Eugène Hamelin et sa mère Amanda Gauthier.
Pour agrandir, il suffit d'utiliser ensemble la touche Ctrl et la roulette de la souris
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Décès de Jean-Paul Pépin, le 22 avril 1983, à l'âge de 85 ans, voir sa nécrologie (image ci-dessous), on retrouve également cet avis de décès : Le Devoir, lundi le 25 avril 1983, à la p. 6; disponible à http://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2786729?docsearchtext=%22Jean-Paul%20P%C3%A9pin%22%20peintre (consulté le 20 mars 2018); en anglais dans The Gazette, Montreal, Monday, 25 April 1983 à la p. 44, disponible à https://www.newspapers.com/newspage/422188350/ (site consulté le 31 mars 2021);
Pour agrandir, il suffit d'utiliser ensemble la touche Ctrl et la roulette de la souris
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Research note:
On line 18, above, the family name after "Jeanne" is "Gauthier"
Un des oncles de Jean-Paul Pépin est Jean-Baptiste Lagacé, supra, professeur d'histoire de l'art qui enseigne Jean-Paul.
Les 11 enfants de Jean-Paul Pépin et de Irène Hamelin:
Jean-Paul Pépin parlant de ses enfants,[...] Nos chers enfants gardez il y en a ici dans le moment.
Cest un plaisir ...le plaisir de les voir Françoise, vous ne savez
quel plaisir maman [son épouse Irène] et moi lorsque nous voyons l'un
de nos enfants.
Irène Hamelin parlant de ses enfants,
[...] Je parle à mes enfants, je dis: après la pluie et le beau temps, des fois,
tous les enfants se découragent dans la vie.
Qui se décourage pas?
En connaissez-vous vous [...] pas découragés dans la vie?
Jean-Paul Pépin avec son épouse, Irène Hamelin, au centre avec leurs 11 enfants, image fixe
tirée de l'émission télévisée de ICI Radio-Canada, "Femme d'aujourd'hui", 6 mai 1974.
Jean-Paul et Irène, détail de la photo ci-dessus à 01:08/15:00 du video.
Claude Pépin a marié Pauline Ross, soeur de Hélène Ross, immédiatement
ci-dessous. Décédé (voir l'avis de décès de Madeleine Pépin); Pauline Ross
serait vivante au 15 février 2015
Jacques Pépin, 1925-2014, décédé à St-Eustache, le 29 mars 2014. En
1948, Jacques épouse Hélène Ross, 1930-2015, décédée le 15 février 2015
et soeur de Pauline Ross; son père est Edgar Ross de Ste-Dorothée qui a été
le fondateur de la compagnie du Marché Central Métropolitain
Une fille: Claire (George)
Marthe Pépin, 1927-2012 à l'âge de 85 ans.
1949, Marthe épouse Gérard Lalonde (vivant après 12 mai 1999 et au 22 février
2022);
deux enfants Jacques Lalonde (Danielle) et Jean-Guy Lalonde;
voir l'avis de décès pour les petits enfants.
Monique Pépin, 1929- , serait vivante au 11 octobre 2021, voir l'avis de décès de Madeleine
Pépin
1948 Monique épouse à Laval François-Francis Galbrand, 1920-1987
pour aller plus loin:
André Galbrand, 261 rue Jeanette Laval (Fabreville) H7P 5C5, tel. 450-622-5323
Robert Galbrand, soit tel 450-969-0027
R. (est-ce Robert?) Galbrand et 514-697-5607
Gisèle Pépin
1953, Gisèle épouse Fernand Jodouin; elle serait décédée, voir l'avis de décès de Madeleine Pépin.Le dimanche 24 octobre 2021, j'ai parlé à madame Martine la fille de feu madame Gisèle.
J'apprends également que Martine a un frère Jean-Pierre Jodouin. Elle connait son cousin
Daniel avec qui j'ai parlé le 20 octobre 2021.
Avis de décès de Gisèle Pépin, fille de
Jean-Paul Pépin, L'écho de Laval, vol. 3, numéro 50,
20 février 2013, à la p. 36, disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/3175069,
site consulté le 24 octobre 2021. La 5e rue est situé à Laval-des-rapides.
Pierre Pépin, 1932-2021, voir son avis de décès dans La presse, samedi, 1er mai 2021
Pierre épouse Renée Beaudin
Pierre épouse Lise Guilbault le 14 juillet 1956, voir La Presse, 14 juillet 1956 à la p. 29 et disponible à
collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2875271
Lise Guilbault décède 7 mai 1963; ils laissent trois
enfants: Viviane, Daniel, François. J'ai eu une longue conversation téléphonique avec Daniel le 20
octobre 2021. Son frère François connait l'existence de ce site.
Source: La Presse, 1er mai 2021, disponible à plus.lapresse.ca/avis-de-deces/9913376f-52c7-4b01-9849-f1f412211055.html
Pierre Pépin demeurait au 236 Rg St Antoine N, Baie St Paul QC, G3Z 2C3, tél.: 418-435-6718
Julien Pépin, fit de la peinture; décédé, voir l'avis de décès de Madeleine Pépin; Julien fut artiste-peintre comme son père Jean-Paul; voir sous Pépin, Julien ce site pour des images de ses toiles et d'autres informations.
Marie-Andrée Pépin (serait vivante au 11 octobre 2021, voir l'avis de décès de Madeleine Pépin)
Robert Pépin (serait vivant au 11 octobre 2021, voir l'avis de décès de Madeleine Pépin)
Robert épouse Jeanne Gauthier maintenant décédée; selon une recherche effectuée le 24
janvier 2021, Robert habiterait dans le quartier de Sainte-Dorothée sur le boulevard des
Milles Iles. Santé fragile. Daniel communique avec la fille de Robert, Chantal (courriel multiple,
25 janvier 2022).
Madeleine Pépin, décédée le 11 octobre 2021, à 79 ans
AVIS DE DÉCÈS Mme Madeleine Pépin
de Saint-André-Avellin, autrefois de Ste-Dorothée, est
décédée le lundi 11 octobre 2021 à l'âge de 79 ans. Fille
de feu Jean-Paul Pépin et de feu Irène Hamelin.
Elle était la mère bien-aimée de Marie-France; la grand-mère
adorée d'Anna et Anastasia; et la chère soeur de Monique (feu
Jean-François Galbrand), Robert (feu Jeanne Gauthier) et
Marie-Andrée. Elle fut prédécédée par ses frères et soeurs: Jacques,
Claude, Gisèle, Julien, Marthe, Françoise et Pierre (Renée). Lui
survivent également plusieurs cousins, cousines, neveux, nièces et
ami(e)s.
La direction des funérailles a été confiée au Complexe Funéraire
Familial de la Petite-Nation Shields Berthiaume 101, rue Principale,
St-André-Avellin, Québec (819) 983-6616. Une cérémonie aura lieu
à une date ultérieure.
Un merci spécial à tout le personnel du 3ème étage du CISSSO de
Papineau pour les excellents soins prodigués à Mme Pépin.
Pour ceux qui le désirent des dons à l’association de votre choix
seraient appréciés.
Pour offrir vos condoléances par télécopieur, composez le (819) 983-6865
ou visitez notre site Internet www.mfshieldsberthiaume.ca
[source: mfshieldsberthiaume.ca/Funerailles/Fiche/2411/Mme%20Madeleine%20P%c3%a9pin],site consulté
le 21 octobre 2021]
Françoise Pépin (décédée assez jeune). Elle s'est suicidée à l'Ile Bigras,
elle avait 29 ans, un tir de carabine en plein coeur (courriel de Jacques-Paul
Pépin-Lalonde 25 juin 2024) .
Musée des beaux-arts de Sherbrooke
Liste des oeuvres de l'exposition de la collection permanente
"Manières et matières. La collection du Musée des beaux-arts de Sherbrooke" (26 août 2009)
[...]
30- JEAN-PAUL PÉPIN (Montréal, 1897--Sainte Dorothée, Laval, 1983). La mare. 1935.
Huile sur panneau de bois. Don de l'honorable Michel Dumaine, juge, No. 23 (*Note; cartel
allongé: [...] Jean-Paul Pépin entreprit tardivement sa carrière artistique. L'aspect direct et intuitif
de ses représentations, tant sur le plan du dessin que celui de la couleur, est en rupture avec une conception
mimétique de l'art. La mare traduit une vision de la nature perçue avec force et intensité.)
[Annexe 6 aux pages lxiii et lxxiii]
------
[Note de recherche: On retrouve une image de la toile La mare, ci-haut à Pépin 117]
---
Pour agrandir, il suffit d'utiliser ensemble la touche Ctrl et la roulette
de la souris
Note de recherche de François Lareau:
Maurice Huot, l'auteur de cet article était
lui-même un peintre amateur, voir "Huot, Maurice" à
lareau-law.ca/peintres_1H.html, site consulté le 22 janvier 2022.
Pour agrandir ou diminuer, il suffit d'utiliser ensemble la touche
Ctrl et la roulette de la souris
IEGOR-HOTEL DES ENCANS, voir:
- Exposition tenue du 21 au 24 octobre 1994 à l'Hôtel des encans de Montréal avec Vente aux enchères tenue du 25 au 28 octobre 1994 à l'Hôtel des encans de Montréal; copie à La bIbliotheque Nationale et l'université du Québec à Montréal; ISSN: 0849-0465; OCLC Number: 757586458; vente sur une des toiles de Pépin; En tête du titre: Vente aux enchères publiques provenant de la succession de Jean Palardy et divers; voir https://e-artexte.ca/id/eprint/9777/ et Canada.on.worldcat.org/....(sites consultés le 2 Janvier 2020);
- vente du 24 mai 2005, Ste-Agathe des Monts, Laurentides, Que Canada (vers St-Faustin), aquarelle, lot 129, 35.5 x 51 cm; source: http://www.arcadja.com/auctions/fr/ste__agathe_des_monts_laurentides_que/artwork/promo/4971665/1450518000/, consulté le 18 avril 2018; voir arcadja.com/auctions/en/auction-lots/dkkhgnhi/ (site consulté le 17 novembre 2021...mais image non-disponible);
- vente du 24 mai 2005, Maison du Québec, Île d'Orléans, Que Canada, aquarelle, lot 130, 35.5 x 51 cm--14 x20"; voir arcadja.com/auctions/en/auction-lots/dkkhgnhi/ (site consulté le 17 novembre 2021...mais image non-disponible);
Pour agrandir, il suffit d'utiliser ensemble la touche Ctrl et la roulette de la souris
vers le haut et vers le bas ensuite pour retourner à la dimension originale
[à la p. 199]
David Karel, 1944-2007,
professor of Art History at Laval
University
source: adairchs.org/KHS/64/rememberence.htm
accessed 24 March 2018
[Extrait de la page 622 sur Pépin]
[note de recherche par François Lareau:
Les références ci-dessous de Karel ci-dessous:
JJLDEVO 1941.03.28 = Le Devoir, --cherchez "28 mars 1941", ce site
JJMLPRES 1941.04.19 = La Presse -- cherchez "REYNALD", ce site
LALIBE86= Laliberté, Les artistes de mon temps, cherchez "Legendre", ce site
MACDOCAN= MacDonald, A Dictionary of Canadian Artists, cherchez "1586", ce site
MQMORIBC= Ministère des Affaires culturelles (Gouv. du Québec),
(n.d.), Archives]
[Note de recherche: Les cours du Conseil des arts et manufactures sont donnés depuis 1893
dans l'édifice du Monument national érigé sur le boulevard Saint-Laurent
entre 1891 et 1894]
[Sur les peintres nommés par Karel, voir
Photo, p. 20
- Jean Baptiste Lagacé, 1868-1946, enseigne au Monument national, 1914-1920
voir Karel, Dictionaire, aux pages 450 et 451
Photo
- Jobson Paradis, 1871-1926,
voir Karel, Dictionaire, à la p. 613
Photo
- Edmond Dyonnet, 1859-1954,
voir Karel, Dictionnaire aux pages 277 et 278
Photo p. 408
- Joseph-Charles Franchère, 1866-1921,
voir Karel, Dictionaire, à la p. 312
Photo
- Charles-Ignace-Adélard Gill, 1871-1918,
voir Karel, Dictionaire, à la p. 346
Photo à la p. 392
- Joseph Saint-Charles, 1868-1956,
voir Karel, Dictionnaire, à la p. 722
Photo
- Adrien Hébert, 1890-1967,
voir Karel, Dictionnaire, aux pages 384 et 385
Photo
- Alfred Laliberté, 1878-1953,
voir Karel, Dictionnaire, aux pages. 454 et 455
[photo recherchée, svp envoyez à flareau@rogers.com]
- Émile Lemieux, 1889-1967, peintre décorateur
voir Karel, Dictionnaire, à la 497
[photo et informations recherchées, svp envoyez à flareau@rogers.com]
Vignard, sculpteur
Photo
- M.-A. de Foy Suzor-Coté, 1869-1937,
voir Karel, Dictionaire, aux pages 764, 765 et 766
[photo recherchée, svp envoyez à flareau@rogers.com]
- Yvan Jobin, 1885-1975,
voir Karel, Dictionnaire, à la p. 418
Détail d'une photo, supra ce site
- Ernest Aubin, 1892-1963,
voir Karel, Dictionnaire, aux pp. 22 et 23
Photo
- Marc-Aurèle Fortin, 1888-1970,
voir Karel, Dictionaire, aux pp.305 et 306
[Note de recherche par François Lareau:
Le 20 mars 2021, par courriel, j'ai fait une demande d'accès pour
la traduction anglaise. Le 25 mars 2021, l'UQAM a répondu ainsi.
There is a copy at Université du Québec en Outaouais, Bibliothèque
L. Brault, call number ND 247 M6 P4513 1996; ]
Note de recherche pour la version anglaise:
La bibliothèque suivante a une
copie de Painting in Montreal, 1915-1930 : the painters of the Montée Saint-Michel
and their contemporaries / [curated by Laurier Lacroix with the assistance of Estelle
Piquette-Gareau; translation, Catherine Sermat and Donald McGrath], Montreal:
Galerie de l'UQUAM et Musée du Québecc, 1996, 64 p.:
- Université du Québec en Outaouais, UQO - Bibliothèque Pavillon Lucien Brault,
ND 247 M6 P4513 1996 Collection générale - Prêt régulier; 101, rue Saint-Jean-Bosco
Gatineau (Québec) Canada J8Y 3G5, tél,: 819 595-3900; tournez sur boul.
Alexandre-Taché, à droite sur boul. St-Joseph, puis Duquesne, Lavigne, Bienville,
Booth et à gauche sur la rue Saint-Jean-Bosco et se trouve à la gauche après l'école.
J'ai fait une demande de prêt entre bibliothèques avec l'aide de la Bibliothèque de la
ville d'ottawa le 2 février 2022 pour cette versionanglaise. J'ai obtenu une copie de
l'Université McMaster en avril 2022.
Prendre note que ce nouveau déménagement a été l’occasion de confier
une large part des archives du Courrier Laval à la Société d’histoire et
de généalogie de l’île Jésus et Centre d’archives de Laval, sis au 4300,
boulevard Samson, dans Chomedey. (source: courrierlaval.com/le-courrier-
laval-demenage/, site consulté le 27 mars 2024).
x
- Olga Hazan, une experte sur Jean-Baptiste Lagacé et auteure du livre Culture artistique au Québec au seuil de la modernité : Jean-Baptiste Lagacé, fondateur de l'histoire de l'art au Canada,
Québec: Septentrion, 2010, 612 pages : illustrations ; 23 cm + 1 CD (4 1/2 in.); collection: Collection des beaux-arts;14---Cahier des Amériques;14; ISBN: 9782894486269, 289448626X, 9782896645879, 289664587X;
copie: l'Université d'Ottawa, Morisset, General Collection N 6547 .M6 H39 2010;
- enseigne au Monument national, 1914-1920, voir Karel, supra, Dictionaire, aux pages 450 et 451.
Cette exposition, mise sous le signe du 375e de Montréal, est l'initiative de l'écrivain et chercheur en histoire de l'art Richard Foisy.
[...]
l’exposition « Les Peintres de la Montée Saint-Michel », présentée à la Maison de la culture Ahuntsic-Cartierville, du 21 septembre
au 29 octobre [2017]
[...]
Foisy affirme que, d’une certaine manière, il poursuit les recherches entreprises par Mme Piquette-Gareau [décédée le 31 décembre 2020].
[...]
LALONDE, Jacques-Paul, voir--see PÉPIN-LALONDE, Jacques-Paul
Extrait du livre et détail de l'extrait, source: facebook.com/pg/Familles-Bigras-de-lIle-
Jesus-Laval-PQ-180560161978640/posts/, site consulté le 10 mars 2021.
"La Société d’histoire d’Ahuntsic-Cartierville a reçu un document
imprimé digne d’intérêt de la part d’un individu qui souhaite garder
l’anonymat. Il s’agit d’un exemplaire du programme d’une exposition
d’art canadien tenu au Collège André-Grasset à l’automne 1944.
[...] Les pages 6 et 7 sont très significatives pour l’histoire artistique
locale puisqu’elles présentent les peintres de la Montée Saint-Michel
qui y participaient."
[Note de recherche additionnelle par François Lareau
concernant ce programme d'exposition:
Monsieur Jacques Lebleu a eu la gentillesse de me faire parvenir
le 14 janvier 2021, les pages 6 et 7 de ce programme
d'exposition. Nous remercions Monsieur Lebleu, le donateur anonyme de ce
document et La Société d'histoire d'Ahuntsic-Cartierville]
[Note de recherche additionnelle par François Lareau
concernant ce programme d'exposition:
Cette image provient de la publication ARCHAMBAULT-MALOUIN, Diane, 1950-, Une belle histoire
qui se poursuit...dans les collèges, Montréal: Les Services du Domaine Inc., mai 2012, 20 p., à la p. 5
(Collection: Le Domaine [Saint-Sulpice] une belle histoire qui se poursuit, cahier 7), disponible à
desjardins.com/fr/votre_caisse/81530453/fascisule-historique.pdf, site consulté le 2 avril 2021]
"Pierre a occupé son appartement de la rue Beaudry, sur le point d'être rasé par
les bulldozers. En 1975, il signait un pamphlet intitulé « Pourquoi je reste »,
dénonçant les démolitions dans le quartier du Centre-Sud."
[pages 178-179]
Notes de recherche: Pour aller plus loin sur la démolition montréalaise, voir:
- Drouin, M. (2012). "De la démolition des taudis à la sauvegarde du patrimoine
bâti (Montréal, 1954-1973)", Urban History Review / Revue d'histoire urbaine,
41(1), 22–36; disponible à erudit.org/fr/revues/uhr/2012-v41-n1-uhr0415/1013762ar.pdf (site consulté
le 6 juillet 2022) et academia.edu/4877937/....
[p. 151]
[p. 152]
LIMOGES, José C., 1901-1977, Fragments historiques, Laval [Qué.] : [Publications de Laval Enrg.], 1974, 209 pages : illustrations ; 22 cm, selon https://www.flickr.com/photos/jm350/11197997234 , monsieur Jean-Marc Hurtubise, ce livre traiterait de la maison Champagne, sise au 50 rue Principale à Sainte-Dorothée;Email: bac.supportsspecialises-specializedmedia.lac@canada.caThe collection of the Documentary Art Library includes over 3,000 files.
Started in the mid- , it consists of biographical information, research
material, newspaper clippings, and auction records. Its particular strength
is historical Canadian art to , specifically caricaturists and early
photographers.
[Research note by François Lareau:
An Access to Information Act request made on 23 March 2021; they received it on
25 March 2021, and replied to me by email on 29 March 2021, their file A-2020-12641]
- Library and Archives Canada
- Boris Stipernitz
- Director, ATIP and Litigation Response & ATIP Coordinator
- 395 Wellington St. 3rd Floor
- Ottawa, Ontario K1A 0N4
- Telephone: 613-996-5115
- Facsimile: 613-992-9350
- bac.daiprp-atipd.lac@canada.ca
- (this info posted on 21 December 2021)
Sent an email to bac.daiprp-atipd.lac@canada.ca on 22 December 2021 asking for an update
on my file A-2020-12641. Got a reply the same day explaining lack of staff, covid 19 and
doing priorities before.
On 11 July 2023, I received an email-update:
Pour agrandir, il suffit d'utiliser ensemble la touche Ctrl et la roulette de la souris
vers le haut;et en bas ensuite pour retourner à la dimension originale
note de recherche 1 sur José C. Limoges:
De 1950 à 1965, il est secrétaire-trésorier de la Corporation du Comté de Laval,
de la Corporation Interurbaine de l'Île Jésus et de deux commissions scolaires de
1958 à 1964. Devenu membre de la Société généalogique canadienne-française en
1963, il co-fonde la même année la Société historique de l'île Jésus (qui change de
dénomination pour Société d'histoire et de généalogie de l'Île Jésus en 1992).
Premier trésorier de celle-ci, il en est président de 1968 à 1972 et publie deux
livres en lien avec l'histoire de Laval : Île Jésus : historique et personnalités (1968)
et Fragments historiques (1974). Au cours des années 1970, il organise des tournées
historiques dans Laval tant pour les enfants que les adultes. Devenu veuf en mars
1971, il épouse Jacqueline Dumont le 3 mai 1973. José C. Limoges est décédé le 1er
octobre 1977.
[...]
Le fonds [José C. Limoges] a été cédé par Jacqueline Dumont à la Société d'histoire
et de généalogie de l'Île Jésus
-------
Centre d'archives de Laval
Société d'histoire et de généalogie de l'Île Jésus
4300, BOULEVARD SAMSON
LAVAL, QUÉBEC
H7W 2G9
TÉLÉPHONE : 450 681-9096
COURRIEL SHGIJ : INFO@SHGIJ.ORG
COURRIEL CAL : INFO-CAL@SHGIJ.ORG
[source de cette note de recjerche archivesquebec.com/lavalp016.html ], consult/ le 16 décembre 2021]
note de recherche 2 sur José C. Limoges:
Dans l'avis de décès de Jean-Paul Pépin, il est écrit : "Des dons à
la Société d'histoire de l'Ile Jésus (Laval) seraient appréciés", voir, ce site, "Décès
de Jean-Paul Pépin".
La flèche indique le site du Manoir Jean-Paul Pépin. Rappellons-le, Jean-Paul Pépin
demeurait au 59 rue Principale à l'intersection de la Montée Champagne, à Sainte-Dorothée,
source de la carte: omhlaval.ca/fr/parc-immobilier/complexes-d-habitation/13:manoir-jean-paul-pepin,
site visité le 10 mars 2021.
--------
[Ma correspondance du 1er et 2 avril 2021 avec monsieur Monsieur Nicholas, président
de l'Office municipal d'habitation de Laval et conseiller conseiller municipal de Laval-les-Îles
monsieur Borne merci pour votre contribution à mes recherches!]
Pour agrandir, il suffit d'utiliser ensemble la touche Ctrl et la roulette de la souris
vers le haut; et en bas ensuite pour retournr à la dimension originale
---------
Pour agrandir, il suffit d'utiliser ensemble la touche Ctrl et la roulette de la souris
vers le haut; et en bas ensuite pour retournr à la dimension originale
-----------
[Monsieur Nicholas, président de l'Office municipal d'habitation de Laval
et conseiller conseiller municipal de Laval-les-Îles m'a écrit aujourd'hui
samedi le 3 avril 2021 pour me dire que monsieur André Dénommé, le dg de
l'office pendant 32 ans lui avait dit que:
- Le Conseil d’administration de l’OMH de Laval avait décidé de
nommer ce projet de 20 logements pour personnes retraitées situé
sur la rue Sylvie en l’honneur de monsieur Jean-Paul Pépin, artiste-peintre,
qui a demeuré à Sainte-Dorothée;
- Cette nomination avait été proposée par monsieur Yvon Lambert
ex-conseiller municipal du quartier Les Îles de 1969 à 1985 et membre
du CA de l’Office de 1990-2002.
- cette nomination avait eu lieu en 1991 et que suite au décès de monsieur
Lambert, en 2007, que monsieur Dénommé, après 30 ans, n'avait
pu conserver dans sa mémoire des détails des échanges concernant cette décision.]
----------
The author, Colin S. MacDonald, died in 2012. He
lived in Ottawa. All the copyright for his Dictionary
has been bought by Library and Archives Canada.
Pour agrandir l'image et le texte, il suffit d'utiliser ensemble la touche Ctrl et la roulette de la
souris vers le haut et vers le bas ensuite pour retourner à la dimension originale
[p. 52]
[...]
[61]
--------
The year of birth as 1894 is mistaken
Note de recherche: le K signifie KAREL, David, supra, et
le M, MacDONALD, Colin S., supra.
(1)
(2)
À l'École des Arts et Métiers, du 16 au 29 février,
oeuvres de Jean-Paul Pépin, de Québec. Tous
les jours de 9h. à 10h.; samedi et dimanche de 1h.
à 5.
- voir le Pépin numéro 117 ci-dessus;
- voir la thèse de HOULE, Nathalie, supra;
-
source : allevents.in/sherbrooke/atelier-de-création-en-plein-air-de-la-passerelle-au-musée-adulte/200024742384526, daté 4 juillet 2023 (consulté le 4 juillet 2023 et j'ai envoyé un courriel
au Musée des Beaux arts de Sherbrooke which hosted the event. No copy of the email but asked what art work for Pepin they had. If they have photos
---------------
Grand admirateur de Fortin, Jean-Paul Pépin, membre du
groupe de la montée Saint-Michel, réalise quelques belles
images naives et régionalistes.
[p. 24 du livre]
[note de recherche numéro 1 sur Jean-René Ostiguy
"Né à Marieville, Jean-René Ostiguy grandit et fait ses études
à Valleyfield, puis à l’'Université de Montréal, à l’'École des
beaux-arts de Montréal, et à la School of Art and Design.
Au début des années 1950 il enseigne l’'histoire de l'’art et
la composition décorative à l'’École des beaux-arts de
Montréal et le dessin à l’'École supérieure de Valleyfield, tout
en étant critique d'’art au Devoir. En 1955, il entre à la
Galerie nationale du Canada (maintenant le Musée des
beaux-arts du Canada) où il occupe différents postes
dont celui de Conservateur chargé de recherches en art
canadien, ce jusqu'’à sa retraite en 1986. Auteur de
plusieurs catalogues d'’exposition, il a également signé
de nombreux articles dans des revues spécialisées,
donné d'’innombrables conférences, et enseigné à l'’Université
d'’Ottawa et à l’'Université Laval. De 1987 à 1990, il a
développé la collection de la Banque nationale à Montréal."
(source: source:avis de décès, cfo.coop/avis-de
-deces/jean-rene-ostiguy-125616/, site consulté le 30 mars 2021]
[note de recherche numéro 2 sur Jean-René Ostiguy:
Voir sa correspondance avec Jean-Paul Pépin en octobre 1966, sous
l'image "Pépin 3" ci-dessus]
Note de recherche: nous n'avons pas reproduit ici
l'image "Pépin 50", ci-dessus qui fait partie de
l'article.
Source: mapcarta.com/W798954427, site consulté le 30 mars 2021
Parc des Peintres-de-la-Montée-Saint-Michel, Recherche dans la Base de données toponymiques
du Canada (BDTC), source: www4.nrcan.gc.ca/recherche-de-noms-de-lieux/unique/EQMEN, site consulté le 30 mars 2021
Note de recherche:
Le conseil a approuvé les propositions du comité consultatif local de
patrimoine et de toponymie (CCLPT) d’Ahuntsic-Cartierville [....]. En
ce qui a trait au sentier situé au parc des Peintres-de-la-Montée-Saint-Michel,
il portera dorénavant le nom de « Sentier Estelle-Piquette-Gareau » afin de
rappeler l’ouvrage « Sur les traces des peintres de la montée Saint-Michel. Mes
peintres oubliés » de la Bibliographie sur l’histoire de Montréal, dont Estelle
Piquette Gareau a été l’une des auteures. Née le 15 novembre 1926 à Montréal,
elle était aussi comédienne et oratrice. Mme Piquette Gareau a étudié auprès de
la célèbre Mme Audet, de 1943 à 1948, et s’est perfectionnée en art dramatique
(dictionnaire des artistes du théâtre québécois).
[source: Montreal.ca/actualites/les-faits-saillants-du-13-novembre-dahuntsic-cartierville-59572, consulté 16 mars 2024]
Note: un extrait seulement de l'article
[L'auteur Roger D. Parent était un journaliste connu sous
les pseudonymes de "l'Académicien", et "le Boulevardier", décédé le
18 août 1948, voir supra; il a écrit le livre Les Vedettes en «jaquettes »,
Montréal, Le Verseau, [1946], 179 p.]
[Note: les questions suivent sur cette page après]
Cette dernière image provient de Le petit journal, dimanche, 26
septembre 1948, à la p. 46 et disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/
4249554 (site consulté 23 mars 2024).
___________"Loi de Faillite--Avis aux créanciers de la première assemblée sur cession: Dans l'affaire de la faillite de PAUL PÉPIN", Le devoir, Montréal, vendredi, 14 octobre 1938, à la p. 8 et reproduit de collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2803032 (site consulté le 22 mars 2024, voir aussi Canada Gazette 1867-1946 (Dominion of Canada), vol. 72, number 23, regular issue, 3 December 1938 sur sa libération?; http://central.bac-lac.gc.ca/.redirect?app=cangaz&id=6679&lang=en
Oeuvre de Julien Pépin, fils de Jean-Paul
http://www.acmtl.com/details.asp?nAdID=59554 (consulté le 18 avril 2018);
courriel envoyé de ce site le 1er février 2020.
Toile de Julien Pepin (Fils de Jean-Paul) 24x36
Cette toile représente la maison où se réunissaient
les fameux peintres de la Montée St-Michel, dont
Jean-Paul Pepin faisait partie. Le père de Julien est
reconnu mondialement et sa cote en 96 était 3,000
Ce tableau peut susciter un intérêt particulier chez
les collectionneurs Offre raisonnable acceptée
Jocelyne 450-689-6811
[Note de recherche: aucun doute, il s'agit de la Maison Champagne
où Jean-Paul habitait à Sainte-Dorothée; cherchez, ce site, "Maison Champagne"]
- extrait seulement du journal ici
A.R., "Cinq minutes avec...Julien Pépin", Le devoir, 1er juillet
1949, p. 5, extrait seulement, source: collections.banq.qc.ca/ark:
/52327/2781128, site consulté le 5 février 2021. Les Pépin 1 et 11,
ci-dessus, proviennent de mon arrière grand-père, le juge Séverin Létourneau.
-
Julien Pépin, Ferme Couvrette, Sainte-Dorothée,
1960; cette image est reproduite du livre suivant:
ROUSSAN, Jacques de, 1929-1995, Marguerire Plourde Garand, 1932-, Laval
en peinture = Laval in painting / par Jacques de Roussan avec la collab. de
Marguerite Plourde Garand ; translated by Jane Frydenlund,
Pointe-Claire : Roussan, [1989?], 120 p., à la p. 21 : ill. (certaines en coul.);
28 cm. SERIES: Collection Horizons
Jean-Paul Pépin avec son fils Julien Pépin à droite lors d'une exposition conjointe;
image fixe tirée d'un film avec interview lors de cette exposition. J'ai reçu une
copie de ce film de 6 minutes et 40 secondes d'un membre de la famille Pépin,
Daniel Pépin, par courriel le 27 octobre 2021 (image mise en ligne le 30 octobre 2021).
Autre image fixe du même film
Julien Pépin, Ste-Rose de Laval, Maison du Boulevard Labelle, 1964,
aquarelle et plume, 10 x 13,5" / 25.40 x 34.29 cm, source de l'image:
swappy.com/fr/2253-art/2254-art-de-detaillants-revendeurs/2260-peintures/p260936-pepin-julien
-xx-ste-rose-1964, site consulté le 2 décembre 2021.
Note de recherche: le lundi, 25 septembre 1972, Julien Pépin passe à la
télévision, émission "De tout de tous (Y'a du soleil)", poste 4 à 12h15,
voir Télé presse, télévision 21 canaux, semaine du 23 au 30 sept 1972,
à la p. 10, disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2720809, site consulté le
31 janvier 2021.
La Patrie, mardi, 30 octobre 1951, p. 14, reproduit de (site consulté 9
juin 2024).
Ses études en arts plastiques au cégep du Vieux MontréalPÉPIN-LALONDE, Jacques Paul, artiste-peintre, petit-fils de Jean-Paul; site de l'artiste (site consulté le 4 octobre 2023). Si mes recherches sont exactes, sa mère serait Marthe Pépin (cherchez "Marthe",. ce site)
et sa spécialisation en gravure et arts technologiques
à l'université du Québec ont indéniablement enrichi sa
pratique artistique.
[...]
Pendant 35 ans, il a partagé son savoir en enseignant les arts
plastiques au collégial. Sa passion pour l'innovation éducative
l'a également amené à se plonger dans l'étude et l'enseignement
de la technopédagogie à l'Université de Sherbrooke.
[...]
Il a joué un rôle clé dans de nombreux comités institutionnels
et a occupé de nombreux postes, dont celui de président de la
commission pédagogique du Cégep de Rosemont.
De 2000 à 2010, il a exercé en tant que coordonnateur du
département des arts plastiques au cégep du Vieux Montréal,
[Site de l'artiste]
PÉPIN-LALONDE, Jacques-Paul, extrait d'un courriel reçu le 20 juin 2024:
Bonjour Monsieur Lareau,
je suis le petit-fils aîné de Jean-Paul Pépin,
il était aussi mon parrain.
J'ai vécu une partie de mon enfance,
élevé par ma grand-mère Irène Hamelin
au 89 rue Principale à Sainte-Dorothée.
Je couchais dans son atelier sur son récamier.
Je connais extrêmement bien son travail,
j'ai côtoyé mon grand-père pendant presque trentes années
il a été ma première école artistique
et nous avons eu de nombreuses discussions sur l'art,
Avec lui, j'ai appris le dessin, l'aquarelle et la peinture à l'huile.
Quand j'avais 5 ou 6 ans, j'allais peindre sur le motif
avec lui dans les bois de l'Île Jésus.
Sa présence et son mentorat, ont fait
de moi un artiste accompli et un pédagogue.
J'ai travaillé 35 années dans les cégeps à
coordonner et enseigner dans les départements d'arts plastiques.
Je suis maintenant à la retraite et j'ai le temps de m'occuper
de mon grand-père dont je possède plusieurs tableaux,
des aquarelles et des dessins. Je suis prêt à vous envoyer des copies digitales
des œuvres en ma possession.
[p. 45]
[p. 45]
[p. 46]
[p. 47]
[p. 49]
[Notes de recherches par François Lareau:
P319/C/14,1:
P = fonds partie de la section des archives privées
319= la cote numérique attribuée au fonds Pierre Perrault
C= indique la série
14,1= le numéro de dossier
Couverture du livre; à gauche, Pierre Perrault et à droite
Jean-Paul Pépin; on indique comme photographe Jean-Louis Frund
[source de la photo: edhexagone.com/jhabite-ville/pierre-perrault/livre/9782890068278, site consulté le 9 octobre 2021]
Source: page 48 à ville.montreal.qc.ca/pls/portal/docs/page/culture_en/media/documents/accesculture_en.pdf
Magazine "accès culture", Cultural events of the boroughs of Montréal--Winter--Spring
2010/vol.7 # 1.
Le photographe est identifié comme Laurence Labat dont le site web est laurencelabat.com/
et le courriel https://laurencelabat.com/ (recherches en date du 25 octobre 2021). Cest une erreur,
le photographe est Jean-Louis Frund.
Pépin à gauche (à 5'2", il est facile à identifier!), avec Perrault et un résidant
du vieux quartier montréalais pendant la visite préparatoire pour l'émission
de "J'écoute une ville" (photo de Jean-Louis Frund); source de cette image:
secure.sogides.com/medias/3/8/ext_9782890068704.pdf, site consulté le 19 novembre 2021.
On retrouve également une copie de cette photo à la page 32 du livre.
Au même endroit que la photo précédente; Pépin au centre, avec Perrault
et un résidant du vieux quartier montréalais pendant la visite préparatoire
pour l'émission de "J'écoute une ville" (photo de Jean-Louis Frund). À noter
le micro dans la main droite de Perrault. Source de l'image: page 100 du livre.
Daniel Laforest, Professor,
Faculty of Arts - Modern Languages and Cultural Studies Dept
Daniel.laforest@ualberta.ca
Monsieur Daniel Laforest dans le livre écrit les premières pages portant le titre de "Présentation", une
sorte d'introduction aux pages 7 à 27. On y retrouve plusieurs passages pouvant aider à la
recherche. J'en cite seulement quelques uns ici:
La diffusion hebdomadaire de ses 39 segments [de J'habite une Ville] a eu lieu de janvier à septembre 1965.5
[...]
5.L'émission était réalisée par Bernard Vanasse, les textes lus par Pierre Perrault lui-même. Elle fut
reprise, presque aussitôt, dans son entièreté, d'octobre 1965 à juin 1966. Un choix de treize de ses
épisodes fut diffusé beaucoup plus tard, sous le titre Visages de Montréal, du 6 juin au 29 août 1983.
........
16. Transcriptions du matériel audio effectuées par Lise Fortin, avec la collaboration de Jeannine Ménard,
[renvoi 16 à la p. 24]
Voici ci-dessous des extraits du livre, aux pages 198-203 (les paragraphes débutant à
la marge sont de Perrault et ceux plus centrés sont de Pépin:
Pour agrandir, utiliser ensemble la touche Ctrl et la roulette de la souris
Note de recherche du 2 février 2022. J'ai mis dans le fichier: PepinUdeLaval.html
des photos du livre.
Source de la photo: www.super-ligue.com/blogue...., site visité le 1er janvier 2021
[Recherches par François Lareau:
Pour d'excellentes photos sur le Domaine Saint-Sulpice, vers 1962, prises par le service
des Archives de la ville de Montréal, voir celles-ci, reproduites, dans ARCHAMBAULT-
MALOUIN, Diane, 1950-, Une belle histoire qui se poursuit...dans les collèges,
Montréal: Les Services du Domaine Inc., mai 2012, 20 p., à la p. 5
(Collection: Le Domaine [Saint-Sulpice] une belle histoire qui se poursuit,
cahier 7), disponible à desjardins.com/fr/votre_caisse/81530453/fascisule
-historique.pdf, site consulté le 2 avril 2021]
[Recherches par François Lareau:
voir le site: www.flickr.com/photos/urbexplo/albums/72157689318854924, consulté le 9 mars 2021]
----
Pierre Perrault, source: ici.radio-canada.ca/premiere/
balados/232/pierre-perrault-un-poete-sans-bon-sens, site consulté 6 mars 2021
À la radio AM et FM de Radio-Canada:
Premièrement. il s'agit de l'émission du matin de radio AM de Radio-Canada, CBF/Montréal et al., "J'habite une ville
-- Jean-Paul Pépin. 'Le Vieux Montréal' Texte: Pierre Perrault", 1ère partie, samedi, 18 septembre 1965, de 10h.30 à 11h00,
voir la revue "La semaine à Radio-Canada, du 18 au 24 septembre 1965, vol. XV, numéro 52", à la p. 14, disponible à
collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2681489 (consulté le 13 novembre 2021); la 2e partie, "J'habite une ville -- Jean-Paul Pépin:
'Le Vieux Montréal' Texte: Pierre Perrault", a lieu le samedi, 25 septembre de 10h30 à 11h00, voir la revue "La semaine à
Radio-Canada du 25 septembre au 1er octobre 1965,Vol. XVI, numéro 1, à la p. 14, disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2681491,
site consulté le 27 mars 2021;
Deuxièmement, ces deux émissions sur Jean-Paul Pépin furent reprises sur les ondes de Radio-Canada (pendant la période d'octobre 1965 à juin 1966);
Troisièmement, ces deux émissions reprises sous le titre "Visages de Montréal" sur les ondes de Radio-Canada en 1983 (radio FM) cette fois-ci; voici
une recherche encore incomplète:
Quatrièmement, en 1995, les deux émissions sur Pépin sont réenregistrées pour fins de préservation.- "J'habite une ville" [erreur dans le titre?], émission de radio, ici Radio FM, CBF-FM, 100,7, Montréal, lundi, 22 août 1983, "Jean-Paul Pépin (1re Partie)", 19h00 à 19h30, voir https://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2883738, note: la deuxième partie de l'émission a eu lieu à "Visages de Montréal", lundi, 29 août 1983, de 19h00 à 19h30, source: https://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2883740 (consulté le 14 mars 2021);
Au Fonds Pierre Perrault à l'Université Laval:
J'ai acheté les deux audios et les deux transcriptions des deux émissions radiophoniques de "J'écoute une ville"
de Pierre Perrault avec l'artiste-peintre Jean-Paul Pépin conservées au Fonds Pierre Perrault (P319), de l'Université
Laval en 2021:
Division des Archives, Université Laval
Division de la gestion des documents administratifs et des archives
Pavillon Jean-Charles-Bonenfant
2345, allée des Bibliothèques
Bureau 5489
Cité universitaire, Québec
Québec (Québec) G1V 0A6
Renseignements 418-656-2131 poste 403441
Courriels: demande.acces@sg.ulaval.ca
et supportgid@sg.ulaval.ca
archives.historiques@sg.ulaval.cahttps://www.arc
https://www.archives.ulaval.ca/wp-content/uploads/Guide_consultation_de_la_DGDAA.pdf
Transcription de "J'habite une ville ici", Jean-Paul Pépin, peintre
de Montréal, première émission, septembre 1965 -- extraits
[Pierre Perrault]
J'habite une ville qui cherche ses mots!
une ville qui attend ses poètes, qui réclame ses peintres, qui tend l'oreille à d'obscure musique souterraine,
qui dilapide ses conteurs comme fausse monnaie, qui ignore ses bretteurs, ses bateleurs, ses jongleurs, ses
pipeurs et ses marchands de ballon...tout ce petit peuple des balcons et des rues qui en sait long,.
j'habite une ville-méprise, une ville-omise, bafouée, qui revendique les cent visages, les mille facettes, les
multiples quartiers, les arbres innombrables, les fleurs de pierre...et pourtant sourde et aveugle aux
papillons des cris ambulataires, à l'infini variété des lucarnes, à la paillardise des corniches et à la race des
hommes qui travaillent debout, la peau cuivrée comme les toits des presbytères.
[Jean-Paul Pépin][Pierre Perrault]
Si les Montréalais avaient connu leur ville, l'avaient connue à tous les points
de vue, l'auraient aimée...elle n'aurait pas été détruite comme elle l'a été. Cette
ville aux cent visages M. Perrault, cette ville aux cent visages.
Qui veille sur les mots? qui défend une lucarne? admire un toit? fait l'éloge d'une rue comme la rue Grand Pré
qui est la plus belle de toutes mais personne ne le sait...pas même le bourgmestre et tous ses acolytes qui
marchent sous la croix et la banière le jour de la St Jean et portent le collier des sommeliers.
Et qui en dira même davantage? Qui la piétinera de rue en ruelle, la vengera de ses escaliers, l'affranchira de
ses clochers pour lui donner mille noms qui l'illustrent au lieu de la sanctifier, à cette ville qui assèche ses
fontaines, interdit l'eau des quais, abolit les places, proscrit les portiques, bannit les terrasses, encube l'air,
dispute aux arbres et aux piétons, d'arrache-pied, pouce par pouce, chaque parcelle de terre et d'eau...
et abat les lucarnes comme des ennemis et comme des sorcières, brûle l'orgueil enroulé des escaliers,
Qui en dira davantage...pour l'avoir regardée dans les yeux, parcourus des pieds à la tête, racontée avec les
mains, repeinte en jour de fête...et manifestée par la colère qui coule sous les écailles de l'asphate comme
deux rivières que personne n'a plus ni vu ni contemplé depuis plus d'un siècle.
[Jean-Paul Pépin]
en philosophie, ça n'a pas été touché...en ethographie ça n'a pas été
touché...dans aucun domaine de la science, Montréal a été touché, je
vous le jure,
Ça a été effleuré. Nous avons effleuré Montréal. Voilà.
[Pierre Perrault]
Nous ne demandions pourtant, qu'à l'apprende, qu' à la connaître et à l'aimer cette ville entourée d'eau comme
une île et parsemée d'îles comme un pays.
[Jean-Paul Pépin]
Ah c'est inoui, ce qu'on a produit dans 200 ans: il faut s'arrêter pis il faut regarder.
[Pierre Perrault]
Et nous étions prêt à tout. Nous savions que la géographie nous entre dans le coeur par les pieds. Qu'un pays
ne s'apprend pas dans les livres. Qu'une ville est écrite dans les rues. Nous avions les yeux plus grands que
la mémoire et le sens de l'hospitalité et le sens de la responsabilité. Les paysages nous remuaient jusqu'à
l'âme. Les rivières arrivaient à nous prolonger comme des pensées. Les arbres nous signifiaient comme le
pain. Et nous savions manger dans la main des distances qui nous séparent du bleu des horizons. Et nous
avons baladé notre émerveillement comme des découvreurs.
------------------
[Jean-Paul Pépin]
[...] l'âme de la maison. Regardez monsieur Perrault, si c'est charmant ça, ya une âme là-dedans,
ici, regardez les châssis, les portes et surtout les lucarnes. Montréal n'est-ce-pas au point
de vue lucarnes va trouver toute son architecture propre à elle. Pourquoi croyez-vous?
C'est parce que chaque personne voulait pas avoir la même lucarne alors ils ont créé une
architecture qui était propre à la Province de Québec at aux Montréalais, vous la trouvez
pas dans le monde cette architecture montréalaise parce qu'il y avait une compétition entre
le voisin pour avoir la plus belle maison, pour avoir le plus beau galbe de la maison
-----------------
[Pierre Perrault]
Un homme m'a dit "Montréal est un toit". Regarde les corniches. Vise les lucarnes. Enjolive tes paysages.
Contemple les escaliers. Examine ces balcons, les épis les consoles, les tours, les tourelles
[Jean-Paul Pépin]
Ah! c'est inoui! ce qu'on a produit dans 200 ans, il faut s'arrêter pis if faut regarder
[Pierre Perrault]
Et j'ai regardé. J'ai eu l'impression de voir pour la première fois. Une nouvelle ville. Ni celle du nord avec
ses constructions mortuaires et ses toits plats, ni celles du très vieux Montréal pierreuse et rugueuse et
sévère mais une châtellerie, une joie de vivre, de capter la lumière, de découper le ciel
[Jean-Paul Pépin]
[...] vous allez trouver de ces corniches d'art sculptées par nos ferblantiers, nos artisans. Là, ils ont
fait des merveilles, à tout point de vue, à tout art, ils ont fait de la renaissance française, italienne,
empire, ils ont fait du 17e siècle, du 18e siècle, du style roman, romain, grec; on trouve des rosaces
grecques, et ca c'était tout fait par nos artisans, par des ferblantiers qui soudaient le fer blanc, qui
sculptaient le fer blanc.
----------
[Pierre Perrault]
Qui en dira davantage?
Qui nous rendra une ville à regarder de tous les yeux de l'admiration? Qui versera dans nos héritages les
toits qui nous endorment. Quel archéologue génial découvrira une ville avant qu'elle ne soit ensevelie
sous les décombres de la honte et des prophètes acharnés à ruminer, comme une sève, la salive de leur
mépris.
J'ai lu les poètes!
J'ai lu les philosophes!
J'ai cheminé par rues et ruelles!
J'ai compté sur les jeunesses et les parti-pris!
Je n'ai connu qu'une ville méprisée par ceux qui ne l'ont pas vécus...et les autres se taisent parce qu'ils sont sourds...
comme la colère. Sauf mon ami Pépin, le seul peintre de Montréal qui soit également poète comme les
ferblantiers étaient sculpteurs.
[Jean-Paul Pépin]
qui ont fait des chefs-d'oeuvre. Remarquez bien ce que je dis des chefs-d'oeuvre
[Pierre Perrault]
Qui est-il ce Pépin? Le plus populaire. Le plus éloquent. Le plus verbal comme un chemin. Le plus
tonituant. Le plus singulier de tous les poètes ambulants, de tous les peintres itinérants. Le plus
invraisemblable. Le plus incroyable. Et qui peuple Montréal comme une lucarne que personne n'ose avouer.
Le plus alambiqué comme la forgerie des escaliers. Le plus orgueilleux comme les épis qui prolongent
les lucarnes. Et le pays qu'il admire est-il aussi héréditaire qu'on le prétrend parfois dans les livres?
----------
[Jean-Paul Pépin][Pierre Perrault]
Je suis né dans la rue St Christophe moi, à côté du faubourg de Québec, entre Ontario
et Demontigny...et la rue suivante St-André et St-Timothée. On rentrait à la rue Amerst
dans les faubourgs.
donc inévitablement...j'étudiais le dessin avec mon oncle et puis j'étais déjè attiré par le
pittoresque de ces faubourgs.
les faubourgs de Québec, le faubourg à m'lasse
Et là, j'ai commencé à prendre le plaisir de peindre tout ce Vieux Montréal pittorsque. Ah!
Les fonds de cour, les ruelles, les couchers du soleil sur les côtés, du côté du soleil, les ombres,
les jeux de lumière, les personnes qui passaient, des vieux qui représentaient des petits métiers,
dans le temps. On voyait passer l'homme n'est-ce-pas qui répare des chaises pis là, je les
sketchais [...]
Sur la rue St-Christophe...derrière les magasins Dupuis Frères...une grosse maison de briques...
à trois étages...à lucarnes...à balcons...à corniches...devant un parc étroit planté d'arbres
tricentenaires.
C'est là qu'on a semé...dans une terre difficile à nommer...l'étonnante mémoire de Jean-Paul
Pépin enfumée par les risques et les obscénités d'un quartier qu'on ne démolira jamais
jusqu'à l'âme.
Dans cette maison bourgeoise, à la porte des faubourgs, le jeune Pépin vit parmi les bons
sentiments d'une famille attentive et cultivée comme il s'en trouve quelques centaines
encore aujourd'hui dans Outremont et ville Mont-Royal.
[Jean-Paul Pépin]
Cette jeunesse, n'est-ce-pas, est due à mon entourage familial...Ma mère était une grande
musicienne, mon oncle qui était professeur d'histoire au Monument National, le père
Lagacé, qui était professeur d'histoire au Monument National. À l'âge de 12
ans je commençais les cours de l'histoire de l'art en général et franchement je vous dirai que
c'est un talent naturel, la peinture n'a jamais été un effort pour moi, ça a été simple, pour moi
c'était facile. Ça l'est encore dans mes derniers jours, quoique je fais des travaux difficiles. Alors
inévitablement avec la musique, la grande musique, avec la littérature j'avais des oncles qui étaient
des médecins, des avocats, des députés, mon curriculum vitae vous dira tous les détails, alors
j'ai vécu dans une armosphère artistique. Et c'est là le début de tous les débuts [...]
Alors là, pendant toute cette jeunesse là, je pouvais suivre mon oncle qui va être mon premier
professeur de dessin à la campagne. Ma première peinture remonte à l'âge de 12 ans, d'après
nature. Je l'ai ici, je vais vous la montrer et là va se continuer, n'est-ce-pas, une vie pleinement
intéressante au point de vue médical, littérature parce que ma mère était une femme littéraire,
mes tantes sont des femmes qui s'occupent de littérature et parmi la famille de ma mère ce sont
tous des musiciens et du côté de mon père ce sont tous des professionnels, avocats, médecin,
notaire, député à la Chambre haute, même dessinateur, inévitablement lorsque vous vivez dans
une atmosphère comme ça, vous apprenez beaucoup plus que ceux qui en entende pas parler.
Mais, le grand affaire, c'est mon grand-père maternel qui va me développer les arts et voici de
quelle façon il va le développer.
J'avais 8 ans, et mon grand-père demeurait sur la rue Dorchester, au 3è étage, il avait en arrière de
sa maison la montagne de Montréal. Et un soir, alors d'un coucher de soleil magnifique, j'ai entendu
mon grand-père -- il faut vous dire que mon grand-père était un bachelier ès arts, il avait même porté
la soutane qui était montré en caricature, il avait été même reçu prêtre, mais sa nature ne le permettait
pas alors il s'est marié et maman est une de ces enfants issue de ce mariage-- et alors là, il me prend par la
main, et je me souviendrai toujours du moment pathétique où il va me laisser admirer, il va me
laisser adorer la nature en me donnant cette leçon cuisante.
Alors le soleil étant dans un éblouissement merveilleux, il lance un cri, pis il me prend par la main, pis
il me dit: regarde mon fils, regarde la beauté, regarde ça, regarde les couleurs, regarde la montagne comme
elle est belle, regarde c'est l'apothéose, c'est la grandeur... Pis moi qui était un petit bonhomme de 8 ans,
je me mets à trembler, je me mets à pleurer. Pleure ça va te faire du bien, tu feras un artiste un jour...
Alors ma mère court après moi parce qu'elle voit que je pleure, elle me prend dans les bras pis elle
dit à son père: papa qu'est-ce que vous venez de faire avec mon petit il va tomber sans connaissance.
Pis il dit: il l'a les arts, il l'a la nature, il s'en aperçoit.
Et c'est donc vrai à 70 ans, tel que je vous parle, je l'ai encore, ce coup de soleil là, je le vois encore,
tout vivant, vers la fin du jour, par un beau soir de juillet ....
sur le Mont-Royal, en plein apothéose. En plus le vieux, n'est-ce pas, c'était un amateur de littérature
profonde, c'était un... il étudiait la mythologie, c'était un des élèves qui avait rapporté les plus grands
honneurs en mythologie et là il avait dit: regarde bien, regarde bien dans le haut là, tu vas voir le char
de Wagner dans la Walkirie, la marche n'est-ce pas....la marche des Dieux, la course des Dieux. Pis là
j'ai vu moi les chevaux là, vous savez, je l'ai vu là dans le ciel. Puis il m'a dit: regarde les courir.
Pis là il a commencé à fredonner des airs de Wagner. La mère m'a pris dans ses bras pis elle a dit
à son père: papa si vous le tuez vous serez responsable. Il dit: tant mieux, ce sera un fou de moins ...
(rire)
[Pierre Perrault-- chez Pépin, Ste-Dorothée, émission "J'écoute une ville"]
Je l'écoute, il parle. Et il s'émerveille de ses propres paroles. Comme l'eau dans les pierres. Il fait de sa voix
la substance de son discours. Comme l'alouette il veut voler plus haut que son cri. Il n'a rien d'un grand chef.
Il est court. Trapu. Rond. Chauve. Bedonnant. Mais même les satyres sont dieu. Et tous les dieux ne sont
pas des poètes. Et tous les poètes ne sont pas peintre des rues et ruelles...
Je l'écoute. Il parle. Et son destin le fascine. Par son enfance tout s'explique. Il peuple ses greniers d'épisodes.
Il se découvre des fantômes. Il entend le piano de sa mère, la voix d'ange de sa tante, les exhortations d'un grand-père
en colère devant un soleil d'apthéose...il parle. Il parle. Assis dans une lucarne comme un saint dans sa niche. Roi de
son grenier. Maître d'orgueil. Acclamant les toits qui sont combles. Les corniches, les chambranles, les chevrons,
les lambourdes, les girouettes, les gouttières...et les enfances affubluées d'accoyaux comme dans les légendes.
[...]
un jour il a quitté la grande maison de son enfance, comme un lien insupportable, il a abandonné le piano et
ses nostalgies, il n'a plus conversé avec les oncles-musiciens, il n'a plus rencontré les oncles-littérateurs, et il
habite désormais, à la fin d'un long voyage de rues en ruelles, parmi les joyeux maraichers de Ste-Dorothée,
une simple et belle maison de bois autrefois passé.
Et là, sous les combles, près d'une lucarne, parmi les crayons, les pinceaux, les encres, les carnets, la cendre
et les cendriers, il entretient, en veilleuse, la lampe des souvenirs qui font vaciller sur les murs les grandes ombres du
passé.
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[Jean-Paul Pépin]---------
Et un jour, mon père vendait des matériaux d'artistes. Malheureusement l'occasion ne mettait jamais
donnée à mon avantage, ça veut dire que des grands artistes venaient se procurer des tubes français,
parce qu'on représentait des maisons françaises pour les tubes de couleur, mais ce qui arrivait
c'était toujours des bohêmes, les soulards qui disaient à mon père: soyez pas inquiez, le père, votre
fils ça va faire un artiste, il est plein de talent, c'est merveilleux...Mon père rentrait et me disait:
viens voir tu vas être comme ça dans quelques années...(rire).
Je vous dis, j'aurais pu tuer ces maudits là qui m'ont fait du tord dans ma vie, ils sortaient en criant:
soyez pas inquiet monsieur Pépin. Oui on va t'en faire un artiste avec toi, regarde, tu vas être comme ça
dans quelques années, pis la réputation des Pépins tu l'auras assomée [...]
[Jean-Paul Pépin]
Inévitablement je suis né dans une famille extrémement lettrée. Par exemple, à l'âge de 5 ans, ma mère était
musicienne alors par conséquent, elle nous a fait connaître la musique en naissant. Par exemple, maman, son seul
plaisir lorsqu'elle nous avait, lorsqu'elle avait ses couches, c'était de courir à son piano alors elle approchait le
berceau où nous venions de naître et là, elle commenàçait à jouer son Beethoven, son Chopin, ses cantates et
là, les premiers sons qu'on a compris, c'est la voix de notre mère, ensuite c'est la voix de la musique, ensuite ça
été le regard de la beauté parce que mon père était un libraire puis il importait les plus beaux livres d'art
de Montréal dans ce temps-là alors on avait le privilège, on faisait attention aux volumes.
[...]
À l'àge de 7 ans, j'étais déjà au courant de l'histoire de l'art, je commençais mon histoire, mon éducation [...]
Mon éducation culturelle commence dès l'àge de 5 ans. Ma mère m'initiait à la grande musique classique,
et mon oncle monsieur Jean-Baptiste Lagacé qui était professeur d'art à l'Université de Montréal et directeur
du dessin de la Commission des Écoles catholiques de Montréal, a commencé à m'enseigner le dessin à l'àge de 8 ans.
À 12 ans, je connaissais n'est-ce-pas une grande partie de l'histoire de l'art; à 15 ans, j'étais rendu au cours
supérieur de dessin; à 18 ans n'est-ce-pas dans le cours professionnel; à 21 ans, je peignais les paysages du
Québec d'après nature; à 24 ans, je devenais n'est-ce-pas, on m'avait placé dans la catégorie des artistes-
peintres du Canada et de la Province de Québec; à 28 ans, j'étais parmi n'est-ce-pas les artistes connus; à 32 ans , je me présentais
au baccalauréat et au doctorat ès lettres; à 38 ans, artiste professionnel; à 51, je faisais la découverte de la peinture
canadienne québécoise, dans la spatule, truelle, dans l'artisanat avec la gamme chromatique, la catalogne, la natte et le tapis
crocheté m'ont inspiré toute ma vie.
À 60 ans, j'ai la réputation d'être un artiste connu dans mon pays. À 65 ans, j'ai l'admiration des connaisseurs et
des collectionneurs et des amoureux de l'art. À 67 ans, j'ai la gloire d'être vraiment un peintre canadien.
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Transcription de "J'habite une ville ici", Jean-Paul Pépin, peintre
de Montréal, deuxième émission, septembre 1965 -- extraits:
[Pierre Perrault]
[...] cependant je voyais surtout les murs de la mystérieuse rue Saint-Jacques les tableaux étranges
d'un peintre inconnu par ailleurs toi balcons, murs et lucarnes et nuages en formes de fantôme un incessant hommage de
couleurs à cette ville sans poète un délirant hommage à l'architecture méprisée comme si on ne pouvait plus dormir sans poèmes
et [...] j'ai recommencé la délivrance grâce à Pépin et aux avocats de la rue Saint-Jacques qui ne se doutent de rien.
[Jean-Paul Pépin]
J'ai fait de l'éducation parce que la plupart des professionnels dans le temps ne connaissaient pas les arts,
absolument pas; pendant vingt ans je vais déposer mes peintures dans leurs bureaux je les laisse là.
A la longue, les gens commencent à prendre le goût et à un moment donné, je vends. Il fallait que je vende parce que
j'avais 11 bouches qui m'attendaient c'est à partir de ce moment-là n'est-ce-pas que les forces surhumaines vont me
prendre puis vont m'on dit tu vas en faire de la peinture tu vas la faire connaitre ta [...???? à réécouter] peinture canadienne ils vont l'aimer
et pendant trente ans ça va être la bataille ouverte.
[Pierre Perrault]
Faisons bien sûr la part du lyrisme et même celle de l'épopée. Pépin est là devant moi dans une taverne. Il me raconte sa vie. Il parle de Montréal. La
bière le réchauffe. La poussière des démolitions l'exaspère. Il est le plus jeune septuagénaire du monde; il se croit prophète. Qui a jamais cru les prophètes?
Je l'écoute, il m'enchante. Je me souviens des tableaux de Pépin, il y en avaient dans toutes les anti-chambres dans tous les bureaux qui parlaient de Montréal.
Depuis lors j'ai quitté cette rue où la neige est noire et je lui rends cet hommage, personne avant lui, personne de plus ardemment que lui n'a parlé de Montréal,
la ville que tant d'autres méprisent.
[Jean-Paul Pépin]
Si les Montréalais avaient connu leur ville, l'avaient connue à tous les points
de vue, l'auraient aimée...elle n'aurait pas été détruite comme elle l'a été. Cette
ville aux cent visages Monsieur Perrault, cette ville aux cent visages.
[Pierre Perrault]
Et pour la sauver d'oubli, pour la ravaler de mépris il a chercer à découvrir une forme un style des outils des matériaux il a inventé son propre surréalisme, il a
découvert la peinture nationale.
[Jean-Paul Pépin]
[...] a besoin de nous Ah le voilà parce que l'on a du mazout bas on n'a eux autres n'en ont pas. Là ça les intéresse. Est-ce que je n'ai
pas raison? Ça c'est de la peinture québécoise Garde-là celle-là . Il n'y a pas un maudit français qui est capable de faire ça C'est pas moi qui le dit. Ce sont mes amis les
intellectuelse, des génies, des connaisseurs, les amateurs qui ont dit en face: la voilà la peinture canadienne-française monsieur Pépin. Vous l'avez exactement. C'est parce que vous
avez pris l'artisane pour vous inspirer. C'est dans cet artisanat que vous etes venu la chercher. Là je raconte le fait.
Le jour, parce que j'étais avec mon professeur, nous étions dans les montagnes, pis on a perdu notre chemin, c'était en octobre, il faisait extremement froid. J'ai dit à mon
professeur, si tu veux dire comme moi, on va descendfre, pis on va demander un gite. Alors c'était une femme de colon, dont l'homme était un bucheron. On cogne là à
7 heures du soir, la femme d'assprete à aller se coucher, il n'y avait pas d'entrée pour deux hommes, nous sommes des bandits pour elle. Mais à force de
parlementer, je lui ai dit: ne soyez pas inquiète madame. Elle nous a ouvert, pis elle nous a donné une soupe aux pois, pis on s'est endormi immédiatement, ça
faisait déjà 8 heures qu'on était au grand air. Mais le lendemain, il y avait une petite salle attenant à la cuisine, et là ily avait un métier et dans ce métier là
il y avait 4 verges de catalogne qui était fait. Alors je lui demande la question: madame ou prenez-vous toutes ces couleurs?
Ah ben, à dit, monsieur Pépin, regardez donc par le chassis regardez-les, les arbres verts, l'aulne, le cyprès, le pin, les verts, pis ya différents verts,
les voici, dans ma catalogne, ce vert-là, le vert, le vert, le vert. Les aulnes? Ben, à dit, regardez donc par le chassis, les aulnes y sont rouges, y sont
jaunes, y sont brunes, à ditr, les voici dans ma couleur, je les ai toutes appliquées dans ma couleur, et ainsi de suite. La belle bande de ciel bleu que
vous voyez, c'est le ciel. Alors je suis ébahi hein, je suis renversé, mon professeur était à coté de moé....j'y crie; j'ai trouvé la peinture canadienne,
je l'ai, j'y dit, je l'ai, ah je te jure que ce que je conte là, je l'ai. Pis la femme a peur, à dit: coudon, c't'un fou! c't'un fou!
Voici les incidents, n'et-ce-pas, de la découverte de ma peinture artisanale, dans la spatule, dans la diagonale avec la gamme chromatique.
[Pierre Perrault]
Puis dans sa maison de Sainte-Dorothée, nous avons mangé ensemble le bon bouilli qui a mijoté tout le matin sur le feu de bois...en nous moquant
de nous-memes et des autres...en célébrant les charmes et le gracieux accent des plus jeunes filles de la maison...en buvant le vin de l'amitié...et en applaudissant
bruyamment la découverte de la peinture artisane à la spatule dans la diagonale avec la gamme chromatique.
Que je ne comprenne pas toute la profondeur de cette pensée n'étonnera personne, mais personne ne m'empechera de constater que Pépin est le plus poète des peintres
de Montréal.
[Jean-Paul Pépin]
Parce ce que je n'ai pas encore vu le fond de la peinture canadienne. Je n'ai pas encore peint, monsieur dame, je n'ai pas encore fait de pièces
importantes. Donc je conserve mes dernières oeuvres pour ça. Toute ma vie, je n'ai jamais sacrifié un instant la peinture pour tout
autre chose. La peinture seulement...
J'ai été appelé au professorat, aux conférences, à des groupes pour connaître la peinture, des positions du gouvernement, des positions de
collège. Non, c'était toujours non, non. Pourquoi? Je poursuivais un but la peinture, pour toucher une certaine profondeur. Parce ce que je savais qu'il
m'aurait fallu cinq vies pour compléter ce que je voulais faire. Donc il me reste seulement une vie, pis rendu à mon dernier quart d'heure, je reste dans
la peinture. Et c'est la raison pour laquelle j'écris pas. C'est les raisons pour lesquelles je donne pas de conférences. Et c'est les raisons pour lesquelles je
reste dans la solitude et dans la paix, pour y mourir délicieusement, au milieu n'est-ce-pas de ma vieille maison canadienne, pis au milieu de la
belle campagne. Je crois que c'est un paradis. Et jamais je ne concèderai et je sacriefierai ça...ce paradis là. Jamais!
[...] Et là, j'ai commencé n'est-ce-pas, à aimer le Vieux-Montréal, la vieille maison, les vieux murs, la vieille pierre, les lucarnes, les corniches,
les styles peut-etre bâtards, mais admirablement construits. C'était un rêve à toutes les heures du jour. Et pendanst 20 ans, je me
lasserai pas de peindre tous les faubourgs.
[Pierre Perrault]
Et ensemble nous avons bu...
et ensemble nous avons pleuré sur cette ville assassinée...sur les faubourgs détruits...sur une époque méprisée par les gens instruits.
[Jean-Paul Pépin]
[...] À l'école, aux universités on l'apprend pas. On apprend à détruire le vieux Montréal et à faire de l'argent avec ce patrimoine sacré.
[...] C'est une question d'argent.
[...] Je les ai vu agir ces crasses, ces maudits juifs, ces maudits anglais. Je les ai vu agir moi, parce ma peinture me donnait une
ouverture directe de la psychologie totale. Suis assez psychologue pour savoir ce qui se passait. Ils se serviront des canadiens-
français n'est-ce-pas pour détruire ceci. C'est après qu'ils ont pris l'action civique ils nous on mis en tout et nous ont fait détruire.
[...] Anomalie! imbécélité totale! ignorance totale! imbécélité totale! et on a pas fini de servir ce monde là.
[...]
[Pierre Perrault]
Le front couronné de fleurons glorieux...le bras qui sait porter l'épée...l'histoire qui est une épopée...la terre de nos aieux...et nous avons
répondu par la bouche de nos canons...
jusqu'à ce que l'odeur de la poudre nous fasse monter la moutarde au nez. Et là nous avons décidé de descendre dans la rue et d'aller
sur les lieux du combat constater les dégâts.
Et parmi les enfants qui nous entourent de leur curiosité, Pépin note un galbe sur son carnet, vante une corniche, et fait l'éloge d'un balcon et
s'émerveille.
[...]
Les enfants eux parlent de télévision, de sous-marin, d'avenir, de nouveauté et bourdonnent auteur de Pépin qui s'acharne à dessiner les vieux escaliers,
pour sauver une âme qui risque de manquer à la chanson.
[...]
[Jean-Paul Pépin]
Il y a une sensation là-dedans. Regardez bien ça arriver, ça va toute sortir mon dessin ça.
cette ombre là, regarde la bien faire, tiens. Tiens, tiens, tiens, vous savez il y a des sensations là-dedans. Seulement
cette ombre là, il y a ???? immédiate, tout de suite. Ça c'est de la technique ça.
Regardez ça mon vieux, un sketch de peinture. J'ai pas le temps. Il faudrait deux vies, trois vies, quatre vies,
cinq vies...faudrait des jours de 48 heures.
[....] Regardez la petite porte ici, et regardez monsieur le dessus du chassis ici, regardez le dessus du chassis double,
regardez le chassis comment c'est fait. le dessus du chassis, la petite console qui est là, là. Regardez la
porte en bas là. Regardez cette petite vitre rectangulaire qui est épantante. Regardez l'autre là, le chassis avec une
profondeur, un début d'alcôve, venez ici...tu vas voir ça.
[...]
Les bulldozers détruisent ça en 3 minutes...mon ennemi le bulldozer! Celui qui a inventé ça méritertait d'etre
pendu sur la place publique...
[...]
Oh regardez donc le nid d'oiseaux ici, les oiseaux ont pris maison là. Regardez ils sont sur le bord de la coupole les
petits oiseaux de Montréal. Ce sont mes grans amis ça. Ils m'ont toujours inspiré.
[...]
Mais regardez l'ensemble les lignes par rapport aux chassis c'est un agencement d'une grande beauté et
regardez la pierre, la vieille pierre du vieux Montréal qui a 100 ans et plus. Le bulldozer écrase ça lui,
ça lui est égal!
C'est ceux qui les commandent qui devraient être pendus. Eux.
[Pierre Perrault]
Et je regarde une ville où je suis né.
Et il me semble bien la voir pour la première fois,
la découvrir enfin cette ville dont personne ne
m'avait parlé auparavant, sa châtellerie et l'éloquence des toits, une extraordinaire variété de lucarnes,
une joie de vivre...une exubérance...une chaleur...
une rhétorique du bonheur populaire.
Et soudain au détour d'une rue nous sommes surpris, attaqués, assaillis, presque renversés par une monstrueuse pelle
mécanique qui bredouille, les mains jointes et l'échine courbée, toute sorte de flagorneries comme le chat de la
fable.
[Jean-Paul Pépin]
Regardez cette machine là c'est une monstrueuxité. [...] Cette machine là remplace 1000 personnes dans une
journée. Elle empêche le pain quotidien. Et vous appelez pas ça de la barberie ça? Comment appelleriez-vous ça?
Cette machine là est monstrueuse et infernale...maudite! maudite!
[Pierre Perrault]
Autour de nous les démolisseurs s'affairent sans se préoccuper des éloges et des hommages et des malédictions de
Pépin.
[Jean-Paul Pépin]
Ces bâtisses là avaient été faites dans un but n'est-ce-pas de tenir 500 ans...
Aujourd'hui c'est pas possible. Ça serait pas pratique, parce que ça payerai pas assez.
Il faudrait les faire pis ça serait démoli au bout vde 15 ans.
Tiens tourne toi là, venez ici vous, reagardez la beauté par rapport à, au pied de l'escalier
suivez bien là, montez Sherbrooke et allez dans le fond, regardez la beauté avec l'arbre là.
Regardez vous avez une perspective des maisons de Montréal, qu'il y a 100 ans. Regardez les
balcons qui dépassent. Regardez les lucarnes. Regradez le style purement canadien-français,
fait par des canadiens-français. Ça c'est de l'art ça! de chez nous! là vous l'avez l'art de chez nous!
Vous avez pas besoin d'aucune influence européenne ni canadienne. Là le Canadien français a fait
des chefs-d'oeuvre! qu'on regarde! qu'on le voit, qu'on l'applique aujourd'hui! Ça serait unique
au monde! Moi ils m'ont demandé: monsieur Pépin quel est le style d'aujourd'hui? Style chassis.
[Pierre Perrault]
Et notre promenade nous conduit jusqu'à la Place d'armes où les vieilles pierres avaient touvé refuges.
D'énormes grues armées de bélier, des compresseurs, des pelles mécaniques, des camions, des niveleuses,
une armée de chenilles, de mantes religieuses de scarabés s'acharnent à détuire.
[Jean-Paul Pépin]
J'imagine que lorsque si j'étais condamné un jour à finir mon éternité en entier, pis je verrais
une démolition, je me dirais il n'y a pas d'erreur possible, t'es chez le diable, prends ma parole.
Ces vandales, ces ignorants, ces imbéciles, cas machines...sans ame, sans coeur... ces machines
terribles, ces machines sans ame, ces bulldozers, ces assommeurs.
[...]
Montréal, la ville aux cent visages, je vous l'ai déjà dit, a reçu une bouteille de vitriol
en pleine figure...
[...]
Ceux qui ont donné l'ordre de la démolition...ils sont supposés des hommes qui mènent la ville de
Montréal par leur intelligence...
[...]
Je les comparerai tous ces gars là à des bulldozers...c'est bien leur éfigie, bulldozer, assomeur, ce
sont nos hommes d'aujourd'hui qui démolissent ces beautés là.
???
désastre, anéantissement, barbarie...sans pudeur, sans honneur, sans coeur, sans connaissance,
ignorant, imbécile, nul,...une gang de zéro.
[...]
Ce sont des démons qui démolissent, tous ensemble. Ceux qui les ont donné, les bulldozers que
tu vois, les assommeurs, tous cette gang de voyous, de ratatouille, de bandit, d'apache, de va nu
pied, de sans-culotte, de coupe-jarret, de coupe-gorge, sont des maudits! Je leur souhaite que
ceux qui les ont construites puissent resusciter et puis venir les égorger sur place de leur infamie,
de leur acte barbare! Des nuls! Ah! y pas de mot là! on peut plus en trouver, il va falloir que
j'ouvre mon dictionnaire, c'est impossible, je peux pas vous décrire tout ce qui se passe là!
Je conclus [...] nous refoulons dans l'esclavage pour encore un 200 ans. Nous serons des
esclanes, parce qu'on aura perdu un patrimoine ...patrimoine irremplaçable.
[...]
Des rastaquoères, des bandits, des apaches...des coupe-jarrets. Écoute c'est pas drole. Et moi,
j'ai ajouté à tout ce vocabulaire des mange-orteils
[...]
Ah! c'est pas croyable...ah!, on parle pas de ça. Je vas etre malade, je vas tomber malade...Je
peux pas m'imaginer qu'on peut détruire ce que la main humaine a fait pendant des années.
C'est pas croyable. Ah regarde bien partir le morceau, regarde-le ben partir. Ça ça a été faite
avec amour, par des sculpteurs, regarde le bien partir regarde cette section de sculpture là...
Tiens le v'là. Regrade moi ça. Bonjour (bruit de démolition)
Ah non!...j'sus pus ???capable bon! j'sus pus capable de regarder, ça me rend malade.
- avis de décès avec photo, "Estelle Piquette-Gareau, jour du décès, 31 décembre 2016", Le Nécrologue, publié le 3 janvier 2017
et mis à jour le 4 janvier 2017, disponible à (site visité le 24 janvier 2021);
À Baie-Comeau le 31 décembre 2016, est décédée à l’âge de 90 ans, madame Estelle Piquette, domiciliée à Baie-Comeau et autrefois de Montréal.
Elle était l’épouse de feu monsieur Jean Gareau.
La famille recevra vos condoléances en présence des cendres au funérarium SERENA, situé au 15 av. Roméo-Vézina, Baie-Comeau
le jeudi 12 janvier 2017 de 19h à 22h.
Veuillez prendre note qu'une cérémonie aura lieu à Montréal à une date ultérieure. Les détails vous seront communiqués prochainement.
Elle laisse dans le deuil sa fille Sylvie (Berthier Turcotte), son fils Jean-François, son petit-fils François-Xavier, son arrière-petite-fille
Jade ainsi que d’autres parents et amis (es).
[note de recherches: 1. son époux le docteur Jean Gareau est décédé le 13 décembre 2010, voir urgelbourgie.com/en/necrology-obituaries/18592-jean-dr-gareau;
2. J'ai envoyé un courriel à un monsieur Jean-François Gareau à gareau.Jean-francois@uqam.ca, le 9 mars 2021, (514) 987-3000, poste 3263; ou demander de l'aide à info@aplaweb.ca car il y a un Jean-François Gareau comme 1er Vice-Président, recherches du 9 mars 2021]
- "petitesannonces.journaldemontreal.com/.../AC1E03CD0779a02AFF... AVIS DE CLÔTURE D'INVENTAIRE Avis est par les présentes donné que, à la suite du décès de Estelle Piquette, en son vivant domiciliée au 70 avenue Mance, Baie-Comeau Québec, survenu le 31 décembre 2016 un inventaire des biens de la défunte a été fait par le liquidateur de la succession Jean-François Gareau le", source: google.ca/search?client=firefox-b&dcr=0&ei=sMPDWpSgGMfdjwTErLu4BQ&q=estelle+piquette-Gareau+succession&oq=estelle+piquette-Gareau+succession&gs_l=psy-ab.3...11840.15982.0.16374.11.11.0.0.0.0.128.1160.3j8.11.0....0...1c.1.64.psy-ab..0.9.952...0i22i30k1j33i160k1j33i21k1.0.kbI9mTLijlU (consulté le 3 avril 2019); note de recherche:
Régistre des droits personnels et réels mobiliers (RDPRM);
-« Sur les traces des peintres de la Montée Saint-Michel. Mes peintres oubliés ». Dans : Laurier LACROIX, dir., Peindre à Montréal, 1915-1930: les peintres de la Montée Saint-Michel et leurs contemporains (Montréal et Québec, Galerie de l'Université du Québec à Montréal et Musée du Québec, 1996), p. 82–85; available in ENGLISH "On the Trail of the Painters of the Montée Saint-Michel", Painting in Montreal, 1915-1930 : the painters of the Montée Saint-Michel and their contemporaries / [curated by Laurier Lacroix with the assistance of Estelle Piquette-Gareau; translation, Catherine Sermat and Donald McGrath], Montreal: Galerie de l'UQUAM et Musée du Québecc, 1996, 64 p., ISBN: 2892761522 (Galerie de l'UQUAM) and 2551170753 (Musée du Québec) et disponible à lareau-law.ca/MonteeTHREE.pdf (mis en ligne en mai 2022).
[Le 27 janvier 1978, Jean-Paul Pépin confie des items à Estelle Piquette-Gareau]
Le journal de monsieur¨Pépin, commencé en 1927, comprend sept carnets: dans le premier, il a consigné des
pensées, des réflexions sur la vie, les autres contiennent des biographies de ses amis peintres, des commentaires sur le
monde des arts et des artistes, des renseignements pratiques. Ces textes mériteraient une longue analyse, mais à leur lecture,
on sent bien à quel point il était difficile d'être peintre à Montréal durant l'entre-deux-guerres, et surtout durant la Crise...
[...]
Dans ses boîtes, il y avait un véritable trésor: de belles photos, des coupures de presse, des critiques, toute sa comptabilité et
une abondante correspondance. Il y avait aussi -- ce qui nous a permis de retrouver plusieurs tableaux -- la liste de
collectionneurs des Peintres et de leurs contemporains, auprès de qui monsieur Pépin a souvent joué le rôle d'agent. D'ailleurs, son
plus illustre "client" était aussi l'un de ses plus chers amis: c'est ce qui ressort des nombreuses lettres --inédites et étonnantes --
que s'échangèrent Jean-Paul Pépin et Marc-Aurèle Fortin.
[p. 83]
- Entretien entre les historiens Robert Comeau et Laurier Lacroix sur les peintres de la montée St-Michel dans Société historique de Montréal et
la Fondation Lionel-Groulx, Nouveaux regards sur notre histoire: épisode du 19 mars 2019, 1ère partie, diffusée sur les ondes de Radio VM
le 19 mars 2019; note de recherche vers 05:24 minutes de l'entretien, monsieur Lacroix donne des renseignements sur Estelle Piquette-Comeau
qui a ramassée la documentation à partir de Pépin sur les peintres de la montée Saint-Michel et qui rencontre celle-ci en 1996 ;
disponible à societehistoriquedemontreal.org/nouveaux-regards-sur-notre-histoire/a2019/ et societehistoriquedemontreal.org/radio/nouveaux-
regards-sur-notre-histoire-episode-du-19-mars-2019/ (sites consultés le 2 avril 2021);
[Monsieur Lacroix parle à 05:24 minutes du ruban]
En fait tout commence par Estelle Piquette-Gareau qui est une historienne amateur et qui est une collectioneure et
qui se passionne pour ces artistes-là et c'est elle qui dans les années 70-80 va, à partir de Jean-Paul Pépin, un
des peintres encore vivant va commencer à documenter et à retrouver les descendants de tous ces artistes
et à vaiment faire, je dirais, ramasser la documentation sur ces peintres, comme elle n'est pas historienne de l'art,
elle vient me voir avec tout ce matériel et me me demande qu'est qu'on pourrait faire... [écouter la suite au site]
- photos de Estelle Piquette-Gareau que m'a fait parvenir par courriel Diane Archambault-Malouin, M.A. le 24 janvier 2021 avec le
texte suivant:
Je vous transmets [...] dans un premier temps, deux photos d’elle, prises en février 2012 [sic 2011?]
(déjà 10 ans, incroyable!). C’était à l’Hötel de Ville de Montréal à l’occasion d’une exposition
sur les peintres de la Montée Saint-Michel organisée je crois par Éric Sigouin. Ces photos sont
de Jean-Pierre Malouin, vous pouvez les utiliser avec cette mention.
Mme Estelle Piquette-Gareau, 2012, près d'une toile de Jean-Paul Pépin, photo
de Jean-Pierre Malouin.
Mme Estelle Piquette-Gareau, 2012, photo de Jean-Pierre Malouin
- photo de Estelle Piquette-Gareau en photo couverture:
Estelle Piquette, Radiomonde, 7 août 1948 à la p. 1, photo de
Annette et Basil Zarov, disponible à collections.banq.qc.ca/ark:/52327/3425284
(site consulté le 8 février 2021).
[p. 3]
-
La presse, 31 mai 1954 à la p. 7, permalien: collections.banq.qc.
ca/ark:/52327/2877816, site consulté le 14 mars 2021
- Madame Estelle Piquette aurait reçu plusieurs bourses du Conseil des arts du Canada,
selon des informations reçues;
- Madame Estelle Piquette aurait étudié à l'Université du Québec selon des informations
reçues;
- Fonds Estelle Piquette-Gareau, voir https://crilcq.org/la-recherche/lieux-de-la-recherche/theatrotheque-universite-de-montreal/
site consulté le 10 mai 2022;
Fondée en 1978 à l’initiative de professeurs·res de théâtre du Département
d’études françaises (renommé, en 2006, le Département des littératures de
langue française) de l’Université de Montréal, la Théâtrothèque est un
centre de documentation théâtrale et un lieu de recherche, d’animation et
d’observation dédié aux pratiques scéniques passées et actuelles au Québec.
La Théâtrothèque a pour mandat de participer activement à la sauvegarde
de la mémoire du théâtre au Québec, d’en favoriser la diffusion la plus
large qui soit et d’encourager la recherche dans ce domaine. Elle est
aujourd’hui partie intégrante du Centre de recherche interuniversitaire
sur la littérature et la culture québécoises (CRILCQ). En 2018, la
Théâtrothèque de l’Université de Montréal a fêté ses 40 ans, ce qui
en fait, avec les L.W. Conolly Theatre Archives de l’Université de Guelph,
en Ontario, le plus ancien centre d’archives théâtrales en milieu universitaire au Canada.
Centre de recherche interuniversitaire sur la littérature et la culture québécoisesCentre institutionnel Faculté des arts et des sciencesDépartement de littératures et de langues du monde; Département des littératures de langue françaiseAutres numéros : 514 343-7369 (Information) 514 343-2256 (Télécopieur)
- Un court texte sur Estelle Piquette-Gareau:
C’est à Estelle Piquette-Gareau que l’on doit l’existence du CRALA.- J'ai appris dernièrement que le "Fonds Estelle-Piquette-Gareau" est en cours d'acquisition, par la
Chercheure autonome, elle a consacré de nombreuses années à la
redécouverte des huit peintres de la Montée Saint-Michel qui ont été
les derniers occupants de L’Arche. La cueillette des archives, l’enregistrement
de témoignages et la découverte d’œuvres, ont permis la réalisation, en 1996,
de l’exposition Peindre à Montréal, 1915-1930 : les peintres de la Montée
Saint-Michel et leurs contemporains (dir. Laurier Lacroix), dont elle a été l’âme.
[Texte de Richard Foisy, source du texte: https://atelierlarchemontreal.ca/crala-3/historique/, site consulté le
24 décembre 2021]
Théâtrothèque CRILCQ voir crilcq.org/la-recherche/lieux-de-la-recherche/theatrotheque-universite-de-montreal/
(site consulté vers le mois de mai 2022). Aux denières nouvelles en date d'un courriel du 6 janvier 2023, Mme Karolann St-Amand
du Théâtrothèque CRILCQ m'informe que "Le dossier n'a malheureusement pas avancé depuis notre dernier échange, nous n'avons
toujours pas reçu le fonds d'archives. Je vous tiendrai au courant si jamais ça change."
- On retrouve dans le livre de Richard Foisy, Les peintres de la Montée Saint-Michel. Un groupe montréalais (1911-1946), supra,
à la p. 551, une belle photo de Estelle Piquette-Gareau avec Jean-Paul Pépin prise chez elle:
Estelle Piquette-Gareau avec Jean-Paul Pépin.
Texte de la plaque [installé en juin 2013]
Ici, à l'ancien 22, rue Notre-Dame Est, [Montréal] au dernier étage, se trouvait entre 1904 et 1929 un célèbre
atelier d'artistes appelé l'Arche.
Il a été créé par le peintre et poète Émile Vézina, puis occupé par le groupe littéraire La tribu des Casoars.
Victor Barbeau, Édouard Chauvin, Jean Chauvin, Marcel Dugas, Philippe La Ferrière, Roger Maillet,
Roland Maillet, Albéric Marin, Isaïe Nantais, Philippe Panneton, Ubald Paquin, Honoré Parent, Paul Ranger.
Leur ont succédé les peintres de la montée Saint-Michel.
Ernest Aubin, Joseph Jutras, Jean-Onésime Legault, Onésime-Aimé Léger, Élisée Martel, Jean-Paul Pépin,
Narcisse Poirier, Joseph-Octave Proulx.
De nombreux autres artistes, comédiens, journalistes et musiciens ont aussi apporté leur contribution aux beaux
jours de l'Arche.
Plaque apposée en juin 2013 par le Centre de recherche sur l'atelier de l'Arche.
[source: Culture et Communications Québec, Répertoire du Patrimoine culturel du Québec
patrimoine-culturel.gouv.qc.ca/rpcq/detail.do?methode=consulter&id=214665&type=bien,
site consulté le 21 janvier 2023]
Résumé
Ce catalogue présente 60 reproductions d’œuvres choisies dans les collections du Musée,
accompagnées d’informations sur la pratique de chaque artiste et sur le contexte de
production de l’œuvre. Pressé retrace certains moments historiques de la pratique des
arts au Québec et souligne le travail effectué par le Musée pour la diffusion de l'art
dans les Cantons-de-l'Est. Elle s’intéresse notamment à trois artistes récipiendaires
du prix Paul-Émile-Borduas et natifs de cette région : Daudelin, Vaillancourt et Goulet.
Listes des artistes et des donateurs. Courtes notices biographiques. Bibl. 1 p.
- "Rue St-Hubert", huile sur bois, 13,5 x 21 cm, numéro d'accession 1998-0407-001;
- "Fin de jour au couchant", 1909, 14,5 x 17,5 cm, huile sur carton, numéro d'accession 1998-0407-002;[inscription au dos de l'oeuvre]
champ de sarrazin, ferme Sulpicienne, rue St-Hubert, été 1925.
- "Maison de campagne", 1927, 15,5 x 20,5 cm, huile sur bois, numéro d'accession 1998-0407-003;
- "Maison de campagne", 1929, 19 x 24 cm, huile sur carton, numéro d'accession 1998-0407-004;[inscription au dos de l'oeuvre]
maison de campagne, le temps était gris, ferme de ..., montée St-Michel.
- "Ferme Sulpicien", huile sur carton, 18,5 x 21 cm, numéro d'accession 1998-0407-005;[inscription au dos de l'oeuvre]
couchant, ferme Lorin soir, montée St-Michel en 1928, coin St-Hubert et boulevard
Crémazie est, aujourd'hui le boulevatd Métropolitain, en 1961.
- "Sous-bois", 1925, huile sur carton entoilé, 14,5 x 17 cm, numéro d'accession 1998-0407-006;[inscription au dos de l'oeuvre]
octobre 1926, matin, à la ferme Sulpicien, ferme Lorain, aujourd'hui
en 1958 Collège Grasset, Montréal.
- "Paysage", 1930, huile sur carton, 19 x 24 cm, numéro d'accession 1998-0407-007;
- "Paysage", 1926, huile sur carton, 16,5 x 19,5 cm, numéro d'accession 1998-0407-008;[inscription au dos de l'oeuvre]
Montréal, 1930 côte...
- "Vue de Montréal", 1930, huile sur carton, 15,3 x 23 cm, numéro d'accession 1998-0407-009;[inscription au dos de l'oeuvre]
brume matinale, ferme Robin, 1926, montée St-Michel.
- "Montée St-Michel", huile sur carton, 12,65 x 20,15 cm, numéro d'accession 1998-0407-010;[inscription au dos de l'oeuvre]
un soir de septembre, dans la rue Fabre, à Montréal, Paroisse St-Vincent.
- "Octobre, 1930, Montée St-Michel", 1930, 11,5 x 17,5 cm, huile sur bois, numéro d'accession 1998-0407-011;
- "Ferme Laurin", huile sur bois, 11,5 x 19,5 cm, numéro d'accession 1998-0407-012;
- "Le soir, nuit, septembre 1929", huile sur bois, 12,35 x 17 cm, numéro d'accession 1998-0407-013;
- "Ferme Laurin (Larin), 1927, carton sur carton entoilé, 18 x 23 cm, numéro d'accession 1998-0407-014;
- "Automne", 1928, huile sur carton, 19 x 24 cm, numéro d'accession 1998-0407-015;[inscription au dos de l'oeuvre]
montée St-Michel (brune matinale), en 1927, aube trois heures du matin,
ferme Laurin, coin St-Hubert et boulevard Crémazie, chemin Crémazie, les deux
granges au coin.
- "[Île] Bonaventure", huile sur carton, 15 x 18cm, numéro d'accession 1998-0407-016;[inscription au dos de l'oeuvre]
automne, ferme Lorin, montée St-Michel, coin St-Hubert et Crémazie, sur ce
terrain a été construit le Collège Grasset.
- "Clair de lune", 1927, huile sur carton, 13,5 x 19 cm, numéro d'accession 1998-0407-017;[inscription au dos de l'oeuvre]
c'est la seule qui reste sur une quantité de...perdue dans un déménagement.
- "Pommier", huile sur bois, 15,8 x 21,3, numéro d'accession 1998-0407-018;[inscription au dos de l'oeuvre]
clair de lune à la ferme Gobeil, granges, maison, 4 juillet 1927
.
- "Printemps", 1929, huile sur carton, 14,5 x 17 cm, numéro d'accession 1998-0407-019;[inscription au dos de l'oeuvre]
pommiers au matin, quatre heure a.m., ferme Rolen.
- "Clair de lune, huile sur bois, 11 x 16cm, numéro d'accession 1998-0407-020;
Image (détail) du bordereau d'inventaire de quatre oeuvres de Jean-Paul Pépin
reçue de la Pulperie de Chicoutimi Musée régional.
RADIO-CANADA, "Rendez-vous avec Michelle", émission de télévision à Radio-Canada, lundi, 13 août 1962, 09h30 à 10h00 du soir, une partie de l'émission est sur les Peintres de la Montée Saint-Michel; il se peut que Jean-Paul Pépin reçoit une couverture à l'émission, à vérifier; voir https://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2681170 (site consulté le 10 janvier 2021); émission animée par Michelle Tisseyre, née Ahern, 1918-2014 (site visité le 26 janvier 2021);
- Quelques images fixes du film:
L'animateur Raymond Laplante qui introduit le sujet au
début du film. On parlera avec Jean-Paul Pépin du Vieux-
Montréal, de la disparition du Faubourg à m'lasse.
de l'oeuvre de Jean-Paul pour conserver des dessins de ces
parties de Montréal. Enfin, monsieur le maire Drapeau
discutera de la juste mesure entre la démolition et la consevation
des vieux immeubles.
Scène dans le Vieux-Montréal avec des véhicules de
quelles années?
Raymond Laplante, à gauche, avec Jean-Paul Pépin; ils
s'en vont au restaurant pour discuter du Vieux-Montréal.
Jean-Paul Pépin à gauche avec Raymond Laplante et
leur soupe aux pois! (image fixe à 04:55/15:00).
Une partie du film est consacrée à un interview de Raymond
Laplante avec le maire de Montréal, Jean Drapeau (image fixe
à 08:32/15:00).
- demande en vertu de la Loi sur l'accès à l'information à Radio-Canada
(à faire):
- Notes de recherche:
- Société Radio-Canada
- Peter Hull, Coordonnateur de l'accès à l'information
- 181, rue Queen
- C.P. 3220, succursale C
- Ottawa, ON, K1Y 1E4
- Téléphone : 613-288-6165
- atip@cbc.ca
Il existe un Fonds Raymond Laplante
LE MAGASIN Morency Frères, 458-est, rue Sainte-Catherine, déborde d’ici le 30 avril, d’ébauches, dessins et tableaux qui forment
la première exposition des Peintres de la Montée Saint-Michel, un groupe qui a puisé ses inspirations et sa joie de vivre, depuis trente
ans, dans les environs du domaine Saint-Sulpice, au nord de la ville.
[...]
La qualité est enterrée sous la quantité des ébauches. Mais s’il fallait tenter quelques distinctions, de prime abord, Je les établirais comme
suit:
[...]
PEPIN au grand coeur, l’Ami, cherche dans ses tableaux les tons délicats, les effets de pastel. C’est le plus féminin du groupe.
[Un extrait de l'article seulement ici]
___________courriel du 26 janvier 2022 reçu de l'Archiste de la ville Laval, monsieur Éric Brulotte:Bonjour,
Je fais de la recherche sur l'artiste-peintre Jean-Paul Pépin, 1897-1983. Celui-ci demeurait à Sainte-Dorothée
au 89 rue Principale (Maison Champagne). Voir le site que je construis sur ce peintre à lareau-law.ca/Peintres--Pepin.html
Dans l'avis de décès de monsieur Pépin, il est écrit : "Des dons à la Société d'histoire de l'Ile Jésus (Laval) seraient appréciés".
Je crois qu'il est possible que monsieur Pépin a été très actif dans cette organisation maintenant intégrée à la vôtre.
Je me demandais s'il était possible de faire une recherche dans vos archives pour voir si l'on trouverait pas des écrits ou de
l'information sur monsieur Pépin.
Faut-il en faire une demande officielle? SVP indiquer la procédure et les frais si applicable. Votre organisation est-elle sujette
à la Loi sur l'accès à l'information?
Merci.
François Lareau
___________mon courriel du 27 janvier envoyé à monsieur Éric Brulotte:Bonjour,
Désolé pour le délai. M. Pépin était membre de la Société d’histoire et de généalogie de l’île Jésus à partir de 1965 et
probablement jusqu’à son décès. Je ne saurais vous dire s’il était impliqué d’autre façon dans la Société. Si nous
découvrons d’autres info nous vous les transmettrons avec plaisir.Cordialement,
Éric Brulotte
Archiviste
Centre d'archives de Laval
4300, boulevard Samson boulevard
Laval (Québec), H7W 2G9
Téléphone | Phone : (450) 681-9096
Courriel | email : archiviste@shgij.org
Site web | Website : archives-histoire-laval.org
Suivez-nous sur Facebook et Twitter !
Merci monsieur Brulotte.
J'ai ajouté votre courriel à mes recherches sur Jean-Paul Pépin à mon site lareau-law.ca/Peintres--Pepin.htmlCherchez "Brulotte" à ce site pour trouver votre courriel. Le site est au stage de la construction.J'envoie une copie du présent colurriel à Daniel Pépin, petit fils de l'artiste Jean-Paul Pépin.J'espère vous avoir intéressé à l'artiste. J'aurais du vous envoyer quelques autres pistes pour vous aider dans votre
recherche, comme par exemple le nom du "MANOIR Jean-Paul Pépin (HLM public --Retraités), 650, rue Sylvie,
Ste-Dorothée, Laval H7X 2 W7", cherchez ces mots à mon site.
Ne vous sentez pas obligé à répondre à mon courriel...mais si la curiosité vous envahit aller y et revenez moi un jour.
Un gros merci et heureux d'avoir fait votre connaissance.
François Lareau55-890 Cahill Drive WestOttawa, ON, K1V 9A4Tel.: 613-521-3689www.lareau-law.ca
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S’ils sont tous affiliés à l’impressionnisme et ses codes, l’œuvre de Jean-Paul Pépin évoquera par exemple
des couleurs riches rappelant le fauvisme.
[...]
Le 17 mars dernier, un lancement du livre [Richard Foisy, Les peintres de la montée Saint-Michel. Un groupe montréalais (1911-1946)]
investissait par ailleurs la Cinémathèque québécoise au centre-ville. L’arrondissement y était bien représenté avec Emilie
Thuillier et des membres de la Société d’histoire du Domaine-de-Saint-Sulpice. En outre, cette dernière organise des
ateliers de peinture en plein air (à la façon de ces peintres) depuis 2023.
a félicité les organisateurs de l'exposition Les peintres de la Montée Saint-Michel, cent ans après : 1911-2011, présentée
jusqu'au 11 novembre au Hall d'honneur de l'hôtel de ville [de Montréal]. Cette exposition, qui a été réalisée en collaboration avec
le Centre de recherche sur l'atelier de L'Arche et son époque, (CRALA), rend hommage à un groupe d'artistes discrets mais
passionnés d'art qui ont occupé l'atelier de L'Arche. Cette exposition commémore le centenaire de la fondation officielle de ce
groupe en 1911.
[...]
La réalisation de cette exposition a été rendue possible grâce aux travaux de recherche remarquables de Mme Estelle
[source: ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=5798,42657625&_dad=portal&_schema=PORTAL&id=17563, consulté le 20 mars 2018]
Piquette-Gareau, présidente d'honneur du CRALA, grâce à qui les réalisations de ce groupe de peintres refont surface.
Mme Gareau a oeuvré en collaboration avec son collègue Richard Foisy, directeur du CRALA. En 1996, grâce aux
efforts incessants de Mme Gareau, comédienne, pédagogue et étudiante en histoire de l'art à l'UQAM, ces peintres ont
bénéficié d'une redécouverte majeure avec l'exposition Peindre à Montréal 1915-1930 : les peintres de la Montée
Saint-Michel et leurs contemporains, sous la direction de Laurier Lacroix, présentée entre autres au Musée du Québec et
à la Galerie de l'UQAM à Montréal.